(Par James Andersson Nzale Longbango)
Lettre ouverte N°001/2025 du 03/09/2025 du CIEGS RDC Afrique a l’attention des personnes directement ou indirectement impliquées dans le dossier de l’Accord de paix de Washington du 27 juin 2025 entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda :
Le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL attire l’attention de :
- Monsieur le Président des Etats – Unis d’Amérique DONALD TRUMP ;
- Monsieur le Vice – Président des Etats – Unis d’Amérique JD VANCE ;
- Monsieur le Secrétaire d’Etat Américain, le Sénateur de Floride MARCO RUBIO ;
- Monsieur l’envoyé spécial du Président des Etats – Unis pour la Région du Grand Lacs MASSAD BOULOS ;
- Madame l’Ambassadrice des Etats – Unis en République Démocratique du Congo LUCY TAMLYN ;
- Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo, FELIX ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO ;
- Madame la Première Ministre de la République Démocratique du Congo JUDITH SUMINWA TULUKA ;
- L’Honorable Président de l’Assemblée Nationale de la République Démocratique du Congo VITAL KAMHERE ;
- L’Honorable Président du Sénat de la République Démocratique du Congo JEAN MICHEL SAMA LUKONDE ;
- Madame la Ministre des Affaires Etrangères et de la Francophonie de la République Démocratique du Congo THERESE KAYIKWAMBA WAGNER ;
- Monsieur le Ministre d’Etat et Ministre de la Justice et Garde des Sceaux de la République Démocratique du Congo GUILLAUME NGEFA ;
- Monsieur le Ministre des Droits Humains de la République Démocratique du Congo SAMUEL MBEMBA KABUYA ;
- Monsieur le Président de la Commission des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo PAUL NSAPU MUKULU
- Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies ANTONIO GUTERRES
- Monsieur le Haut-Commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme VOLKER TURK
- Monsieur le Président du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies JÜRG LAUBER
- Madame la Représentante du Secrétaire Général des Nations Unies et Cheffe de la MONUSCO en RDC BINTOU KEITA
- Monsieur le Directeur des affaires politiques de la MONUSCO en RDC FRANÇOIS GRIGNON
- Monsieur le Directeur de la Division des Droits de Droits de l’Homme de la MONUSCO (Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme) JOSE MARIA ARANAZ
- Madame la Présidente du Parlement Européen ROBERTA METSOLA
- Monsieur le Président du Conseil Européen ANTONIO COSTA
- Madame la Présidente de la Commission Européenne URSULA VON DER LAYEN
- Monsieur le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme MATTHIAS GUYOMAR
- Monsieur l’Ambassadeur de l’Union Européenne en RDC NICOLAS BERLANGA MARTINEZ sur les faits suivants :
Concerne : la problématique de l’accord de paix entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda ainsi que de la coopération régionale et intégration économique entre la RDC et le Rwanda passe obligatoirement, absolument, indiscutablement et incontestablement par l’état de droit, la justice et la lutte contre l’impunité et contre les crimes internationaux ainsi que de la mise en œuvre d’un mécanisme de la justice transitionnelle en RDC.
Le Seigneur Jésus – Christ veut faire toute chose nouvelle en République Démocratique du Congo (Esaïe 43: 19) et créer un Congo nouveau en commençant par le respect de la souveraineté nationale et internationale de la République Démocratique du Congo, l’intangibilité de ses frontières nationales héritées de la colonisation et l’autodétermination du peuple congolais ainsi que la sortie imminente, indiscutable, totale, inconditionnelle, définitive et éternelle de la République Démocratique du Congo de toutes les organisations sous – régionales, régionales et internationales à savoir : la francophonie, les nations unies, l’union africaine, la CEMAC, la CEPGL, la CIRGL, la CEEAC, EAC, SADC, la COMESA, le bassin du Congo etc.
Ecoutons tous à présent sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprime, riche et pauvre ce que dit clairement la Parole puissante de Dieu :
- Les ténèbres ne règneront pas toujours en République Démocratique du Congo (Esaïe 8 : 1 – 23 ; 9 : 1 – 4, Jean 1 : 1-18 ; Jean 8 : 12 ; Jean 14 : 6 ET 1 Jean 1 : 1-10).
- Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une très grande lumière (ESAIE 9 : 1 – 4).
- Voici, je veux faire toute chose nouvelle en République Démocratique du Congo (Esaïe 43 : 18 – 21 ; Romains 8 : 28-29 ; 2 Corinthiens 5 : 17).
- La justice élève une nation (Proverbes 14 :34), tels doit désormais être le cas de la République Démocratique du Congo.
Le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL avait pris bonne note des plusieurs publications parues récemment dans les Journaux de la République Démocratique du Congo et dans les réseaux sociaux de l’existence d’une Déclaration de principe signée dernièrement à Washington en présence du Secrétaire d’Etat Américain le Sénateur de Floride MARCO RUBIO relative à la paix entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda ainsi que de l’Accord de Paix entre la RDC et le RWANDA signé le Vendredi 27 Juin 2025 à Washington.
A cet effet, le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL attire l’attention des personnalités sus – mentionnées sur les faits suivant :
- L’histoire retiendra que la majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL affirme qu’aucun Congolais sérieux et qui aime véritablement son pats la République Démocratique du Congo n’acceptera pas de voir effacer et balayer d’un revers de la main sans aucune justice transitionnelle et réparations des préjudices moraux, matériels et financiers inestimables et incommensurables confondus ainsi que des indemnisations tous les crimes des Droits de l’Homme, de génocide congolais, des crimes de guerre et des crimes de pillage et des crimes de guerre commis en République Démocratique du Congo depuis 1994 jusqu’à ce jour au nom de la coopération et intégration régionale entre la RDC et le Rwanda, qu’aucun Congolais sérieux et qui aime véritablement son pats la République Démocratique du Congo n’accepte pas et n’acceptera pas d’hypothéquer les ressources naturelles du sol ou du sous – sol congolais, les minerais congolais : l’or, le cuivre, le cobalt, le lithium, le zinc congolais et autres , les parcs nationaux congolais, les lacs, les gaz naturel, le pétrole, la foret et les terres de la République Démocratique du Congo, à travers l’Accord de Paix signé à Washington le Vendredi 27 Juin 2025 et dit que pour l’amour, la paix, l’avenir et le bien-être social du peuple congolais et de la République Démocratique du Congo, OUI à la paix, la sécurité et à la stabilité du Congo, mais NON à la cogestion et au partage des ressources naturelles, lacs, parcs nationaux, minerais de la République Démocratique du Congo avec le Rwanda et constante avec résignation, déception et pincement au cœur comme l’avais prédit à travers son analyse géostratégique des Accords miniers USA – RDCONGO : « Tshisekedi doit éviter le piège de Kigali » publiée dans les Journaux paraissant à Kinshasa sur cet accord le Philosophe et Ancien Coordonnateur a.i du Mécanisme National de Suivi chargé de la préparation des reformes en RD Congo Léon Engulu III, et soutient tout haut en disant NON MAIS ALORS NON, Kagame n’obtiendra pas malheureusement dans l’accord de Paix de Washington ce qu’il n’a pas pu obtenir par les armes au front et constate de ce fait que désormais à travers cet Accord : toutes les sociétés américaines viendront s’installer au Rwanda, où elles vont créer des emplois, et la RDC sera un gros trou d’où l’on extraira les matières premières et cela après la signature vendredi, d’un accord de principes à Washington entre Kinshasa et Kigali.
- La majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL dit Non et Non à cette initiative ou tentative si telles sera vraiment l’issue de cet accord de partage et de la cogestion des ressources naturelles, lacs, parcs nationaux, minerais de la République Démocratique du Congo avec le Rwanda à travers cet accord de paix de Washington du Vendredi le 27 Juin 2025 sus – mentionné et s’oppose ouvertement, catégoriquement et publiquement à cet accord et demande au Parlement Congolais à savoir : l’Assemblée Nationale et le Sénat de ne plus ratifier cet accord au risque d’être traité et qualifié de haute trahison par le peuple congolais et contre les intérêts majeurs et stratégiques du peuple congolais et de la République Démocratique du Congo.
- La majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBLappelle le Président TSHISEKEDI à éviter le piège de Kigali à travers cet accord de paix de Washington du Vendredi le 27 Juin 2025 entre la RDC et le Rwanda et invite le Président de la République Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO et le Parlement Congolais à savoir : l’Assemblée Nationale et le Sénat de s’opposer, de refuser et de rejeter ouvertement, publiquement, catégoriquement et définitivement la ratification de cet accord qui n’est pas à l’avantage des intérêts majeurs, suprêmes, géopolitiques, géoéconomiques et géostratégiques du peuple congolais et de la République Démocratique du Congo, mais qui est plus à l’avantage du Rwanda et profitera plus au Rwanda dans le cadre d’intégration et de la coopération régionale dans la cogestion et du partage des ressources naturelles, lacs, parcs nationaux, minerais de la République Démocratique du Congo avec le Rwanda au risque d’être accusé de haute trahison par le peuple Congolais propriétaire, souverain primaire et Maitre de la République Démocratique du Congo en vertu de l’article 5 de la Constitution de la République.
- A titre de rappel, selon l’analyse géostratégique les accords miniers USA – RDCONGO : « Tshisekedi doit éviter le piège de Kigali » publiée dans les Journaux paraissant à Kinshasa le Philosophe et Ancien Coordonnateur a.i du Mécanisme National de Suivi chargé de la préparation des reformes en RD Congo Léon Engulu III révéla que l’annonce par l’agence Reuter le 23 avril 2025 dernier de pourparlers entre les USA et le Rwanda concernant un éventuel accord sur l’accès aux minéraux, et confirmé par un officiel rwandais sans plus de détails, appelle les responsables politiques congolais a une profonde réflexion pour éviter le piège tendu par Kigali.
Le contexte de ces pourparlers qui se sont déroulés parallèlement aux discussions pour la conclusion d’un accord minier entre les USA et la RD Congo révèle une manœuvre de grande envergure menée par Kigali contre les intérêts nationaux congolais renchérit dans son analyse Monsieur Léon ENGULU III, ancien Coordonnateur a.i du Mécanisme National de Suivi de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, spécialiste des réformes institutionnelles et des relations internationales.
Kigali aux abois… (Ce qui implique qu’il doit revoir sa politique extérieure ainsi que ses relations extérieures vis-à-vis de la République Démocratique du Congo).
Selon cette analyse, le 19 février 2024, l’UE et le Rwanda signaient un protocole d’accord prévoyant un investissement de 400 millions de dollars pour soutenir la transformation du secteur minier rwandais. Le 13 février 2025, le Parlement européen avait voté une résolution demandant la suspension de cet accord. Cette demande faisait suite à l’agression menée par le Rwanda et ses milices de pillages des ressources naturelles dans l’est de la RD Congo, et aux préoccupations internationales concernant l’exploitation illicite des ressources minières congolaises par le Rwanda.
Suite à cette demande du Parlement européen, Kaja Kallas, Haute Représentante de l’UE pour les Affairesétrangères et la politique de sécurité, avait déclaré le 24 février 2025 que l’UE allait reconsidérer son accord sur les matières premières critiques avec le Rwanda en réponse à son implication dans l’est de la RD Congo. Cette suspension intervient sur fond de rupture des relations diplomatiques le 17 mars 2025 entre la Belgique et le Rwanda, suivie de la rupture de leur coopération le 18 février 2025. Le 4 mars 2025 l’Allemagne avait annoncé pour sa part la suspension de nouveaux engagements financiers avec le Rwanda. Le Royaume Uni avait également suspendu son aide bilatérale au Rwanda, impliqué dans l’agression de l’est de la RDC. Ces suspensions avait fait perdre à Kigali le tiers de son budget national.
Un accord parasite pour et à l’avantage le Rwanda (en défaveur du peuple congolais et contre les intérêts majeurs, géopolitiques, géostratégiques et géoéconomiques du peuple congolais et de la République Démocratique du Congo)
Dans cette analyse, renchérit encore Monsieur Léon ENGULU, au bord du gouffre financier Paul Kagame tenta une manœuvre de la dernière chance en négociant un accord parasite avec les USA pour continuer à tirer profit des ressources minières dela RD Congo. La signature de l’accord minier entre les USA et la RD Congo sur l’extraction et l’exportation de minerais critiques en contrepartie d’un soutien sécuritaire de grande envergure pour la pacification de l’Est était attendue dans les prochains jours. Cet accord a inspiré des infiltrés, dont certains sont bien connus, pour suggérer à Kigali une manœuvre de la dernière chance, appuyée par des lobbyistes du parti démocrate américain, afin d’obtenir de l’administration Trump la signature entre les USA et le Rwanda d’un accord de transformation au Rwanda des minerais extraits en RD Congo. On devine que ces pourparlers entre les USA et le Rwanda ont pour objet le raffinage, la séparation et la pré-industrialisation des minerais congolais au Rwanda, dans des usines financées par les USA. Cette tentative de la dernière chance pour un Kagame aux abois visait à contourner l’accord avorté entre l’UE et le Rwanda portant sur un financement avorté de 400 millions USD, bien que le Rwanda ne dispose pas de ressources minières significatives.
TSHISEKEDI doit dire non (à l’accord de Paix de Washington du Vendredi le 27 Juin 2025 entre la RDC et le Rwanda et le Parlement Congolais (Assemblée Nationale et Sénat) doit s’opposer et rejeter sa ratification).
L’analyse explique la manœuvre désespérée de Kigali, présentée aux Américains comme le cadre potentiel d’une paix dans la région, constitue la première étape d’un piège de longue durée dans lequel le Président congolais Félix TSHISEKEDI ne doit pas tomber. Si la RD Congo permet à Kigali de signer un accord minier avec les USA pour la sous – traitance de la transformation de ses ressources minières au Rwanda, elle perdra le bénéfice de la valeur ajoutée et demeurera un simple fournisseur de matières premières, tandis que le Rwanda captera indûment la plus-value issue de la transformation.
La conséquence d’une telle situation serait la dépendance économique prolongée de la RD Congo, car l’absence d’infrastructures de transformation sur le territoire congolais empêcherait Kinshasa de développer un tissu industriel national. Le déséquilibre géopolitique qui s’ensuivrait permettrait à un Rwanda complètement isolé sur la scène internationale de renforcer son influence régionale et son poids diplomatique, en apparaissant comme un partenaire plus fiable et structuré pour les acheteurs occidentaux. Les Congolais attirent l’attention de leurs autorités politiques sur le fait que ce montage ne serait qu’une nouvelle forme de pillage, avec toutes les apparences de la légitimité pour le Rwanda.
Exigences non négociables des Congolais (ou la zone rouge à ne pas dépasser).
L’analyse poursuit que rangés derrière leur Président Félix Tshisekedi, rempart national contre l’agression rwandaise et ses milices supplétives de pillages, les Congolais exigent la transformation locale de leurs ressources dans le cadre de l’accord minier à signer avec les USA. Cet accord doit prévoir une clause d’installation d’unités de transformation des ressources minières congolaises sur le sol congolais. Les Congolais refusent toute forme d’accord dissocié avec les USA et le peuple d’abord, pleinement souverain, considère la seule option que l’extraction des minerais congolais s’effectue dans le cadre d’un schéma intégré exploitation – transformation locale. Par cela, les Congolais veulent voir leurs capacités industrielles renforcées, avec des investisseurs industriels reconnus.
Les Congolais demandent au Président Félix Tshisekedi de leur assurer une politique de souveraineté sur toute la chaîne de valeur de leurs ressources minières.
Les Congolais refusent que le Rwanda tire bénéfice de la chaine de valeur liée à la transformation des ressources minières de la RD Congo, la transformation étant plus lucrative que l’extraction brute. Les Congolais refusent que le Rwanda devienne un hub industriel stratégique à leurs dépens, attirant lesinvestissements et créant des emplois qualifiés avec leurs ressources minières. Les Congolais demandent à leur président Félix Tshisekedi de saisir l’opportunité historique de développer une industrie locale de transformation dans l’est de la RD Congo, génératrice d’emplois et de recettes fiscales profitables à toute la République.
Problèmes géopolitiques (géopolitiques et géoéconomiques) à venir…
Enfin cette analyse conclut que si le gouvernement congolais tombe dans le piège de Kigali, en acceptant la localisation de la transformation des minerais congolais au Rwanda, plan concocté par des infiltrés à la solde des deux pays, les tensions ne feront que s’accroitre car les Congolais estimeront que le Rwanda continuera de profiter de ses ressources de manière indirecte. Les USA seront accusés de jouer sur les deux tableaux en alimentant une dynamique asymétrique dans la région.
La RD Congo doit conditionner l’accord minier avec les USA à une clause de transformation strictement locale.
Dans le cadre de l’Unité africaine affirme encore l’analyste Léon ENGULU, la RD Congo pourrait se limiter à accorder au Rwanda une aide au développement, mais sans aucun abandon de souveraineté. Les Congolais refusent tout arrangement avec le Rwanda, pays reconnu comme agresseur par la Communauté internationale, avec près de 10 millions de morts au passif de ses tentatives d’annexions en RD Congo. Le Rwanda et le M23/AFC étant vaincus par la résistance congolaise, le Président Félix Tshisekedi doit tenir d’une main ferme, sans désemparer, la souveraineté minière de la RD Congo. Pas de signature sans transformation locale : la RD Congo doit être seule maîtresse de toute la chaîne de valeur minière.
- La position officielle de la majorité des congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et Asbl par rapport al’accord minier entre la République Démocratique du Congo avec les usa ainsi que l’accord de paix de Washington signe le vendredi le 27 juin 2025 entre la RDC et le Rwanda.
- La majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL rejette totalement, ouvertement, publiquement et catégoriquement et dise NON à l’Accord de Paix de Washington signé le Vendredi le 27 Juin 2025 entre le Rwanda et la RDC et le considère comme déséquilibré et plus à l’avantage du Rwanda que du peuple congolais et ne protège pas les intérêts majeurs, géopolitiques, géostratégiques et géoéconomiques du peuple congolais et de la République Démocratique du Congo surtout dans le volet de la coopération et intégration régionale où les congolais seront appelés à partager leurs ressources et richesses naturelles à savoir : le sol ; le sous sol, les lacs, les parcs nationaux et les minerais du sous sol congolais avec le Rwanda et demande au Président de la République Démocratique du Congo Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO de refuser et de rejeter cet accord ainsi qu’au Parlement Congolais à savoir : l’Assemblée Nationale et le Sénat de le rejeter aussi et de s’opposer à sa ratification au risque d’être taxé d’un acte de très haute trahison par le peuple Congolais Souverain primaire, Maître et Propriétaire de la République Démocratique du Congo conformément à l’article 5 de la Constitution de la République Démocratique du Congo et d’avoir trahi les aspirations nobles et légitimes du peuple congolais.
- La majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBLsouhaite que la RDC à travers son Parlement (Assemblée Nationale et Sénat) doit revoir, modifier et amender rapidement et sans plus tarder son Code Minier de 2018 et désormais y inscrire une clause et un dispositif de conditionner l’Accord minier RDC avec les USA ainsi que d’autres Sociétés minières américaines et autres implantées en RDC sans exception et exclusion à une clause de transformation strictement locale et de raffinage de tous ses minerais sans exception et exclusion, stratégiques ou pas en produit finis sur place en République Démocratique du Congo.
- Le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL ne cesse jamais de rappeler le peuple congolais ainsi que la Communauté Internationale les alinéas 4 et 5 du Préambule de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui disposent en ces termes nous citons : « Considérant que l’injustice avec ses corollaires, l’impunité, le népotisme, le régionalisme, le tribalisme, le clanisme et le clientélisme, par leurs multiples vicissitudes sont à l’origine de l’inversion générale des valeurs et de la ruine du pays » et « affirmant notre détermination à sauvegarder et à consolider l’indépendance et l’unité nationales dans le respect de nos diversités et de nos particularités positives » et exhorte le peuple congolais de se conformer sans aucune réserve à ces dispositions constitutionnelles pertinentes pour le bonheur et le mieux être social du peuple congolais sans exception et exclusion et le développement rapide, harmonieux, efficace, durable et intégral de la République Démocratique du Congo.
- Le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL insiste et rappelle à tous et à toutes clairement sans exception et exclusion le contenu global des articles 11, 12, 13, 22, 23 et 27 relatif aux Droits Civils et politiques en République Démocratique du Congo que voici et qui disposent en ces termes nous citons :
Article 11 : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Toutefois, la jouissance des droits politiques est reconnue aux seuls Congolais, sauf exceptions établies par la loi.
Article 12 : Tous les Congolais sont égaux devant la loi et ont droit à une égale protection des lois.
Article 13 : Aucun Congolais ne peut, en matière d’éducation et d’accès aux fonctions publiques ni en aucune autre matière, faire l’objet d’une mesure discriminatoire, qu’elle résulte de la loi ou d’un acte de l’exécutif, en raison de sa religion, de son origine familiale, de sa condition sociale, de sa résidence, de ses opinions ou de ses convictions politiques, de son appartenance à une race, à une ethnie, à une tribu, à une minorité culturelle ou linguistique.
Article 22 : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. Toute personne a le droit de manifester sa religion ou ses convictions, seule ou en groupe, tant en public qu’en privé, par le culte, l’enseignement, les pratiques, l’accomplissement des rites et l’état de vie religieuse, sous réserve du respect de la loi, de l’ordre public, des bonnes mœurs et des droits d’autrui. La loi fixe les modalités d’exercice de ces libertés.
Article 23 : Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit implique la liberté d’exprimer ses opinions ou ses convictions, notamment par la parole, l’écrit et l’image, sous réserve du respect de la loi, de l’ordre public et des bonnes mœurs.
Article 27 : Tout Congolais a le droit d’adresser individuellement ou collectivement une pétition à l’autorité publique qui y répond dans les trois mois. Nul ne peut faire l’objet d’incrimination, sous quelque forme que ce soit, pour avoir pris pareille initiative.
Rappelant et insistant encore une fois de plus le fait que l’article 13 de la Constitution de la République Démocratique du Congo tels que mentionné ci – haut qui interdit formellement et clairement toute forme d’injustice et de discrimination possibles en République Démocratique de quelle nature que ce soit, d’où qu’elles viennent et d’où qu’elles se produisent.
- La majorité des congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et de développement durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL soutenait, déclarait et demandait ouvertement, publiquement et sans ambages que les ETATS – UNIS mettent rapidement et sans plus tarder ni tergiverser à la disposition du peuple congolais souverain primaire, Maitre et propriétaire de la République Démocratique du Congo en vertu de l’article 5 de la Constitution de la République le draft en préparation à de cet Accord minier RDC – USA ainsi que de l’Accord Washington entre la RDC et le Rwanda et nous allons le critiquer, l’étudier, l’analyser dans les moindres détails, l’amender, l’améliorer, l’enrichir en y apporter nos observations pertinentes et constante malheureusement que c’est facile de publier des communiqués de presse et de faire des discours et des déclarations politiques mais c’est difficile de dire la vérité, de graver des engagements dans le marbre. Le diable est toujours et se cache souvent dans les détails dit-on.
- La majorité des congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et de développement durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL dit clairement et ouvertement qu’elle n’acceptera pas et ne soutiendra pas tout accord entre la RDC et le Rwanda qui n’intégrera pas clairement noir sur blanc et qui ne tiendra pas compte de la souveraineté nationale et internationale de la RDC, de l’intangibilité des frontières de la RDC héritées de la colonisation, de l’autodétermination du peuple congolais, de la Justice transitionnelle, de la Résolution 2773 du Conseil de Sécurité des Nations Unies, des dispositions pertinentes du Chapitre VII, des articles 39 à 51 de la Charte des Nations Unies, de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques, du Pacte International relatif aux Droits économiques et socioculturels, de tous les Instruments Internationaux relatifs aux Droits de l’Homme ratifies par la RDC et le Rwanda, du Droit International relatif aux Droits de l’Homme, du Droit International Humanitaire, de la justice internationale contre les crimes des droits de l’homme, les crimes économiques, les crimes d’agression, les crimes de guerre, les crimes de génocide et les crimes contre l’humanité commis en RDC depuis 1994 jusqu’a ce jour, de la justice transitionnelle ai si que des mécanismes de réparation et d’indemnisation des victimes congolais de ces crimes internationaux, et du principe de non partage des richesses et ressources naturelles et minières de la RDC et du peuple congolais avec le Rwanda, de l’adoption rapide et sans plus tarder et sans aucune injustice et complaisance des résolutions pertinentes du conseil de sécurité de l’ONU instituant le tribunal pénal international (TPI) pour la République Démocratique du Congo devant connaitre et juger rapidement tous les crimes énumères ci – haut contenus dans tous les rapports des experts des nations unies relatifs aux droits de l’homme ainsi que des organisations internationales et congolaises de défense des droits de l’homme et de la société civile congolaise commis en République Démocratique du Congo depuis 1994 jusqu’à ce jour mais encore de prendre une résolution unique et contraignante du conseil de sécurité en vertu de la charte des nations unies pour contraindre, obliger, ordonner et instituer l’organisation rapide, sans plus tarder et tergiverser des dialogues inter – rwandais, inter – ougandais et inter – burundais afin de permettre des groupes rebelles rwandais et le FDLR, des rebelles ougandais et les ADF et les rebelles burundais ainsi que des refugies rwandais, ougandais et burundais qui se trouvent depuis 1994 sur le sol congolais ou en République Démocratique du Congo de rentrer librement et calmement chez eux dans leurs pays respectives sous l’égide des nations unies à travers le Haut-commissariat des droits de l’homme (HCDH) et le Haut-commissariat des nations unies aux refugies (HCR).
- Concernant la médiation de l’Union Africaine à travers un panel des facilitateurs récemment désignés et dûment mandatés par l’Union Africaine, la SADC et l’EAC pour le dialogue politique et national et pour le dossier de la République Démocratique du Congo à travers des mécanismes nationaux, Sous – Régionaux, Régionaux et africains en République Démocratique du Congo, la majorité des congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et de développement rapide, durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL estime que ce sont des hérésies, de la tragi – comédie, des conneries et du mensonge pure et simple et soutienne tout haut, ouvertement et publiquement et sans réserve et sans ambages que l’avenir du peuple congolais, de plus ou moins de 100 millions des congolais et de la République Démocratique du Congo ne sera pas décidé par ce groupe des personnes, des Médiateurs et Facilitateurs qui n’ont aucune légitimité populaire vis à vis du peuple congolais, souverain primaire, maître et propriétaire du Congo en vertu de l’article 5 de la Constitution de la République Démocratique du Congo, mais considère que l’avenir du peuple congolais et de la RDC ne se décidera pas non plus par les Etats – Unis, LA France, le Royaume uni ainsi que les organisations sous – régionales, régionales et internationales du genre : les Nations Unies, l’Union Européenne, l’Union Africaine, la SADEC, l’EAC, la CEMAC, la CEEAC, le CIRGL, le COMESA, la CEPGL, le Bassin du Congo et consorts, donc toutes les organisations sous – régionales, régionales et internationales auxquelles appartient la RDC et que le peuple congolais veut voir leur pays quitter rapidement sans condition aucune, toutes affaires cessantes et sans tergiverser toutes ces Organisations Sous – Régionales, Régionales, Africaines et Internationales qu’ils considèrent comme surannées, dépassées, dépassées, obsolètes, budgétivores et en état de mort cérébral et que le peuple congolais insiste et ne cesse d’exiger tout haut, ouvertement, publiquement, sans ambages et sans tergiverser que la RDC quitte vite et définitivement toutes ces Organisations Sous – Régionales, Régionales, Africaines et Internationales qui n’apportent rien dans le développement rapide, harmonieux, efficace, durable et intégral et le mieux-être du peuple congolais. Mais l’avenir de la RDC s’écrira et se dessinera et se décidera un jour en République Démocratique du Congo à travers un dialogue global et inclusif de vérité, de paix, de sécurité, de stabilité et réconciliation sincère entre les congolais en vue de développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo et du mieux-être social du peuple congolais sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre.
- La majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et de développement rapide, durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL considère le dialogue qui est initié par l’Union Africaine, la SADC et l’EAC avec le panel de Médiateur et des Facilitateurs dernièrement comme de l’utopie, de la distraction, de la fumée ou de la vapeur qui s’envole pour ne plus y revenir et sans laisser aucune trace sur le ciel de la République Démocratique du Congo.
- La majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et de développement rapide, durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL refuse ouvertement et publiquement toute forme directe ou indirecte d’intégration des groupes armées et rebelles dans les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, dans la Police Nationale Congolaise, dans les Services de Sécurité et de renseignement de la République Démocratique du Congo comme ce fut le cas autrefois de triste mémoire en RDC avec le brassage, le mixage, la fusion et autres et qui nous ramèneront encore à des situations plus dramatiques et plus compliquées et difficiles à contrôler, à maitriser et à gérer sur terrain en République Démocratique du Congo et propose de ce fait et réclame ouvertement et tout haut l’application stricte des articles 39 a 51 du chapitre vii de la charte des nations unies relative à l’action des nations unies en cas de menace armée contre la paix, de rupture de la paix et d’acte d’agression contre un pays et dont est actuellement victime notre pays la République Démocratique du Congo par le Rwanda en vertu de la Résolution 2773 du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
- La majorité des Congolais consultée par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et de développement rapide, durable et intégral en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL attire l’attention particulière de Monsieur le Président des Etats – Unis d’Amérique Donald Trump, de Monsieur le Vice – Président des Etats – Unis d’Amérique Jd Vance, de Monsieur le Secrétaire d’Etat Américain, le Sénateur de Floride Marco Rubio, de Monsieur l’envoyé spécial du Président des Etats – Unis pour la Région du Grand Lacs Massad Boulos, de Madame l’Ambassadrice des Etats – Unis en République Démocratique du Congo Lucy Tamlyn, de Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo, de Madame la Première Ministre de la République Démocratique du Congo Judith Suminwa Tuluka, de l’Honorable Président de l’Assemblée Nationale de la République Démocratique du Congo Vital Kamhere, de l’Honorable Président du Sénat de la République Démocratique du Congo Jean Michel Sama Lukonde, de Madame la Ministre des Affaires Etrangères et de la Francophonie de la République Démocratique du Congo Thérèse Kiyakwamba Wagner, de Monsieur le Ministre d’Etat et Ministre de la Justice et Garde des Sceaux de la République Démocratique du Congo Guillaume Ngefa, de Monsieur le Ministre des Droits Humains de la République Démocratique du Congo Samuel Mbemba Kabuya, de Monsieur le Président de la Commission des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo Paul Nsapu MUKULU, Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies Antonio Guterres, Monsieur le Haut-Commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme Volker Turk, Monsieur le Président du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies Jürg Lauber, Madame la Représentante du Secrétaire Général des Nations Unies et Cheffe de la Monusco en RDC Bintou Keita, Monsieur le Directeur des affaires politiques de la MONUSCO en RDC François Grignon, Monsieur le Directeur de la Division des Droits de Droits de l’Homme de la MONUSCO (Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme) JOSE Maria Aranaz, Madame la Présidente du Parlement Européen Roberta Metsola, Monsieur le Président du Conseil Européen Antonio Costa, Madame la Présidente de la Commission Européenne Ursula Von Der Layen, Monsieur le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme Matthias Guyomar, Monsieur l’Ambassadeur de l’Union Européenne en RDC Nicolas Berlanga Martinez, que cet accord de paix entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo ne consacre pas l’impunité totale contre les crimes internationaux des droits de l’homme, les crimes de génocide, les crimes d’agression, les crimes des droits de l’homme, les crimes contre l’humanité et d’autres crimes internationaux des droits de l’homme , des crimes économiques contre le peuple congolais et contre la RDC commis en République Démocratique du Congo depuis 1994 jusqu’a ce jour et qu’une disposition pertinente, claire et nette soit insérée clairement, ouvertement et sans ambages et sans aucune tergiversation dans cet accord pour engager des poursuites et imposer des sanctions fermes politiques, diplomatiques, économiques, culturelles, sportives et autres contre les entités, les pays, les entreprises et les personnes incriminées pour les crimes cites ci – haut à travers la mise sur pied d’un Tribunal Pénal International pour la République Démocratique du Congo ainsi que la mise sur pied d’une justice transitionnelle en RDC.
- Avec insistance, la majorité des congolais consultée à cet effet et sur cet épineux dossier par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL demande et souhaite ouvertement qu’à travers cet accord de paix entre la RDC et le Rwanda, de prévoir de toute urgence et sans plus tarder un mécanisme ou disposition pour saisir le conseil de sécurité des nations unies en vue de la mise sur pied rapide d’un Tribunal Pénal International pour la République Démocratique du Congo devant connaitre les crimes internationaux des droits de l’homme, les crimes de génocide, les crimes d’agression, les crimes des droits de l’homme, les crimes contre l’humanité et d’autres crimes internationaux des droits de l’homme et des crimes économiques contre le peuple congolais et contre la rdc commis en République Démocratique du Congo depuis 1994 jusqu’à ce jour ainsi que la mise sur pied d’une justice transitionnelle en République Démocratique du Congo.
- La majorité des congolais consultée à cet effet et sur cet épineux dossier par le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL considère que ce soit l’accord Minier entre les USA et la RDC, que ce soit la Déclaration de principe signé à Washington signé entre la Ministre des Affaires Etrangères de la RDC et le Ministre Rwandais des Affaires Etrangères au nom de la paix doivent être globaux, globalisants et intégrateurs et avoir pour base légale et fondement légale et juridique la Résolution 2773 du Conseil de sécurité des Nations Unies, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, la Charte des Nations Unies, le Pacte International relatif aux Droits Civils et politiques, le Pacte International relatif aux droits économiques et socioculturels ainsi que tous les Instruments Internationaux relatifs aux Droits de l’Homme ratifies par les USA, la RDC et le Rwanda et à cela il faudra ajouter les principes du Droit International et le Droit International humanitaire, de la justice internationale pour des victimes des atrocités et de la guerre à l’est de la RDC, des mécanismes de répression des crimes internationaux, des crimes économiques, des crimes de guerre, de crime de génocide, de crime contre l’humanité commis à l’est de la RDC et de crime d’agression de la RDC dont est victime aujourd’hui notre pays de la part du Rwanda tels que clairement reconnu par la Résolution 2773 DU Conseil De Sécurité des Nations Unies ainsi de la Justice Transitionnelle ainsi que des mécanismes clairs de réparation et d’indemnisation juste des toutes victimes des atrocités et de la guerre à l’est de la RDC et non être simplement basé sur des motifs purement économiques et lucratifs de se faire de l’argent, de la poursuite du business, des gains géoéconomiques et des affaires sous couvert d’une pseudo coopération et intégration régionale de façade et de mascarade et qui ne va pas régler et résoudre durablement et définitivement le problème de la guerre à l’est de la RDC, une période difficile de la guerre de rébellion et d’agression à l’est de la RDC qui date depuis trois décennies environs de 1994 à ce jour et qui continue de faire beaucoup des victimes, des milliers et des milliers des morts et des pertes en vie humaine, des déplacés, des femmes violées, des familles entières totalement déracinées de leurs milieux naturel de vie, des enfants soldats recrutés par les groupes armées et par la rébellion ainsi que des multiples, flagrantes et violations systématiques des Droits de l’Homme et de Droit International humanitaire et tout cela en vue de la paix sociale, la cohésion nationale, l’harmonie, l’unité nationale et le vivre ensemble qui sont des véritables gages du mieux-être social du peuple congolais sans exception et exclusion et du développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo.
- Et pour terminer cette lettre ouverte , le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales et du développement durable et intégral et mieux être social en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL insiste auprès de tous congolais sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre d’implémenter totalement la culture de la paix sociale, la cohésion nationale, l’harmonie, la concorde, l’unité nationale, le vivre ensemble en vue du mieux-être social du peuple Congolais sans exception et exclusion surtout en cette période difficile de la guerre de rébellion et d’agression à l’est de la RDC qui date depuis trois décennies environs de 1994 à ce jour et qui a fait et continue de faire beaucoup des victimes, des milliers et des milliers des morts et des pertes en vies humaines, des pillages honteux et scandaleux des ressources naturelles et minières de la RDC, des déplacés, des femmes violées, des familles entières totalement déracinées de leurs milieux de vie naturel, des enfants soldats recrutés par les groupes armées et par la rébellion ainsi que des multiples, flagrantes et violations systématiques des Droits de l’Homme et de Droit International humanitaire en vue de la recherche de la paix sociale, cohésion nationale, harmonie, unité nationale et vivre ensemble qui sont les véritables gages du mieux-être social du peuple congolais et du développement rapide, efficace, harmonieux, durable et intégral de la République Démocratique du Congo.
Fait à Kinshasa, le 03 Septembre 2025
Que celui qui a des oreilles pour entendre qu’il entende (Matthieu 11 : 15 ; Apocalypse 2 : 16 – 17 ; Apocalypse 2 : 26 ; Apocalypse 3 : 6 ; Apocalypse 3 : 16 ; Apocalypse 2 : 22).
Que la grâce du Seigneur Jésus – Christ, l’amour de Dieu, et la communication du Saint – Esprit, soient avec vous tous. (2 Corinthiens 13 : 13).
Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous. (Apocalypse 22 ; 21).
Que Dieu le Père Céleste et Eternel des Armées vous bénisse abondamment, vous protège et vous garde encore longtemps en vie (Nombres 6 : 22 – 27).
LE CIEGS RDC AFRIQUE
ONGDH DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME
ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET ASBL
Le Président – Fondateur et
Président Exécutif International
Apôtre James Andersson NZALE LONGBANGO
MONGA TSHAMBU ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS
Pasteur des Ames
Le Grand Défenseur des Droits de l’Homme
Le Cher du Feu, le Char d’Israël et sa cavalerie
Le Vaillant Héros et Grand Lion
E – mail: ciegsrdc2022@gmail.com , ciegsrdc2023@gmail.com