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Covid-19 : le vaccin n’est pas une arme d’extermination des êtres humains 

Par La Prospérité
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Un long message circule dans plusieurs groupes WhatsApp en République démocratique du Congo. D’après ce texte attribué à l’ancien vice-président de Pfizer, Mike Yeedon, indique qu’il est “ trop tard pour sauver ceux qui ont été injectés publiquement avec une substance appelée vaccin”.  La crise sanitaire est encore là mais la désinformation empoisonne davantage la vie des personnes non informées. Raison pour laquelle j’ai décidé d’en parler pour le bien de la communauté. 

Citation

‘’ vaccination armes de génocide du 21éme siècle ‘’ 

Les faits

Partant de mon investigation avec le moteur de recherche Google pour trouver si réellement les propos attribués à Mike Yeedon sont les siens, il y a aucune preuve qui confirme cela. Mais néanmoins, nous sommes tombés sur un article de la RTBF. D’après ce media belge, c’est le site d’information ‘’ LifeSiteNews’’ reconnu champion en diffusion des fausses informations qui a publié ces propos.

Le vice-président honoraire de Pfizer, Mike Yeedon  est au centre des polémiques sur les réseaux sociaux. Depuis son départ de l’entreprise, ce dernier est reconnu comme un anti-vaccin avec ses déclarations dont certaines sont considérées par les scientifiques comme des fake news 

Le vaccin sauve des vies

Les vaccins sauvent des millions de vies chaque année. Les vaccins contre la COVID-19 sont sûrs et efficaces, et fournissent une forte protection contre les formes graves de la maladie et le décès. D’après une étude de l’institut pasteur,  les personnes non vaccinées courent au moins douze fois plus de risques d’en contaminer d’autres.

L’organisation mondiale de la santé encourage la vaccination 

C’est une manière plus sûre de se faire immuniser contre la COVID-19 que de contracter la maladie. Les vaccins empêchent la plupart des gens de tomber malades, mais aucun vaccin n’est efficace à 100%. 

« Lorsqu’un grand nombre de personnes au sein d’une communauté sont vaccinées, l’agent pathogène circule difficilement car la plupart des personnes qu’il rencontre sont immunisées. Ainsi, plus le nombre de personnes vaccinées est élevé, moins il est probable que les personnes qui ne peuvent être protégées par les vaccins soient exposées à des agents pathogènes dangereux. C’est ce que l’on appelle l’immunité collective. » peut-on lire dans cet article de l’OMS.

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