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Hommages solennels et érection des monuments en mémoire de Grand Kallé et Jamais Kolonga

Par La Prospérité
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Tshisekedi-Ngobila : la requête de Me Kalala Muena Mpala toujours en souffrance !

*Un artiste, musicien ou peintre soit-il,  ne meurt jamais. Grâce à ses œuvres, il reste vivant au panthéon des immortels. C’est le cas de Grand Kallé et Jamais Kolonga, deux des plus grands artistes musiciens congolais de tous les temps, décédés respectivement le 11 février 1983 et le 14 février 2015. Plusieurs années après leur disparition, que reste-t-il encore de si précieux dans un pays où ils auront tout sacrifié à la faveur de la culture congolaise ? La réponse à trouver dans la bataille de Maître Kalala Muena Mpala, Président Médiateur Général de l’Afric’Ambiance, qui, dans une série de correspondances adressées, au mois de février de l’année dernière, au Président de la République Félix Tshisekedi, au Gouverneur Gentiny Ngobila et à plusieurs autres autorités, d’ici et du Congo d’en face, plaidait pour l’érection des monuments, sur la place de l’Indépendance (Gare centrale), en mémoire de ces deux illustres disparus et en celle de tous les grands pionniers de la Rumba congolaise. Une année après son plaidoyer, sa requête reste encore lettre morte bien que la démarche parait fondée dans une certaine mesure.

« Le 11 Février 1983, l’immortel Grand Kallé nous quittait en nous laissant la rumba de majesté. Rejoint par son Alter égo, le 14 Février 2015, Jamais Kolonga avait maitrisé non seulement les règles du protocole d’Etat mais aussi celles de la grande rumba authentique et d’autres danses nobles de l’école des Grand Kallé, Essou Jean Serge, Edo Nganga, Kuka Célestin, Kabako et Nino Malapet d’heureuse mémoire. En hommage à tous ces immortels et unificateurs de deux rives, nous signons la présente avant le 11 et le 15 Février, dates où Dieu a voulu les rappeler dans son Royaume », avait-il plaidé.

La Pros.

Kinshasa, le 10 Février 2022

Transmis copie pour information à:

Leurs Excellences:

  • Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo (actuel Président de CEAC) A Kinshasa/Gombe
  • Monsieur le Président de a République du Congo (ancien Président de la CEAC au Congo Brazzaville)

     Au Congo Brazzaville

  • Monsieur le Vice Premier Ministre et Ministre des Affaires Etrangères de la République Démocratique du Congo ;

     A Kinshasa/Gombe

  • Monsieur le Gouverneur de la Ville Province de Kinshasa ;

      A Kinshasa/Gombe

A Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères du Congo-Brazzaville

A Brazzaville

Objet: – Remerciements, accompagnement et félicitation

 – Hommage à Grand Kallé et Jamais Kolonga

           Excellence, Monsieur le Ministre,

Même absent physiquement à Brazzaville, nous avions été présent, à travers la voix inoxydable de Grand Kallé en ces termes:«Ebale ya Congo ezali lopango te ezali nde nzela », fleuve que nous avons, à maintes fois, traversé, à l’instar de votre homologue de Kinshasa qui nous lit en copie et avec lequel, en tourisme, nous nous sommes déjà retrouves au marché de Poto Poto.

Grande a été notre joie, vous le savez, au mois de Janvier de vous voir, fidèle connu de nous aussi, lors de la passation, entre Brazzaville et Kinshasa, du drapeau de la CEAC à Kintele où Madame Photas de l’African Fiesta vous avait laissé une dernière précieuse phrase dans une des langues nationales de la République Démocratique du Congo pour consolider notre fraternité: « aksanti nduku wangu ».

Nous étions témoin privilégié de cet évènement privé!

Merci et accompagnement de cet actuel événement par tous les mélomanes kinois de l’African Jazz du 30 Juin lequel, après la Table Ronde de Bruxelles, rentra à Kinshasa en passant par Brazza la verte via le Beach Ngobila en se déployant par la place de l’indépendance, site touristique qui attend, l’implication aussi du Gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka dans l’érection d’un monument en souvenir de nos héros culturels de l’indépendance qui ont consolidé notre fraternité, durant des décennies, à côté desquels, selon notre souhait, Jamais Kolonga le fidèle des fidèles.

A nos côtés, sont au moment où nous signons cette lettre, Georges Kasanda et Kwami Munsi, membres déjà de l’Afric’ Ambiance, lesquels comptent rencontrer, à Brazzaville, leurs frères Romain de SOS SALSA et ceux des Bantous des deux capitales pour rappeler, aussi à tous, la chanson «faux millionnaire » de Kwami et d’autres œuvres qui rapprochent davantage nos fils des deux Congo.

Excellence Monsieur le Ministre,

C’est par cette place de l’indépendance, que nos Héros culturels précités avaient regagné notre capitale actuellement embellie par le Gouverneur en fonction qui, selon notre souhait doit, restaurer l’avenue Kabasele Tshiamala surtout au niveau de la résidence de MOKIA MANDEMB0(en face de l’hôtel Phénix), l’homme en trois pièces depuis la 2ème  République jusqu’à ce jour.

Excellence, Monsieur le Ministre,

Actuels Ministres des Affaires Etrangères ayant connu ces élégants et civilisés Kallé et Jamais Kolonga, vous ne manquerez pas, vous deux, d’intercéder auprès de leurs Excellences Messieurs les Présidents de la République en faveur de l’érection de ce monument.

Nos deux Présidents vous écouteront, plus que nous même, d’accompagner le Gouverneur Ngobila Mbaka dans l’installation de ces héros.

En annexe notre première requête.

Merci d’avance, ici déjà, à Monsieur le Gouverneur de donner du prix à cet appel qui est aussi celui des deux jeunes artistes choisis, pour la circonstance, par nous.

Excellence, Monsieur le Ministre,

Encore une cérémonie en Février semblable d’échange de symboles au siège de l’Union Africaine entre le Président Félix Tshisekedi Tshilombo et le Président Makisal du Sénégal; notre sentiment d’appui est resté constant.

Ce dimanche qui a suivi, notre joie était aussi à son comble lorsque, pays de Nicole SAAR vivant à Paris, le Sénégal, avec ses Lions de la Teranga, furent proclamés « champion d’Afrique », nous a aussi procuré la joie.

Félicitation à nos frères et sœurs Sénégalais!

Excellence, Monsieur le Ministre,

Le 11 Février 1983, l’immortel Grand Kallé nous quittait en nous laissant la rumba de majesté.

Rejoint par son Alter égo, le 14 Février 2015, Jamais Kolonga avait maitrisé non seulement les règles du protocole d’Etat mais aussi celles de la grande rumba authentique et d’autres danses nobles de l’école des Grand Kallé, Essou Jean Serge, Edo Nganga, Kuka

Célestin, Kabako et Nino Malapet d’heureuse mémoire.

En hommage à tous ces immortels et unificateurs de deux rives, nous signons la présente avant le 11 et le 15 Février, dates où Dieu a voulu les rappeler dans son Royaume

Excellence, Monsieur le Ministre,

Restons ensemble autour des deux Magistrats Suprêmes !

Kalala Muena Mpala

Président Médiateur Général de l’Afric’Ambiance, des Bantous des capitales et de SOS SALSA. En hommage aux immortels et unificateurs Grand Kallé et Jamais Kolonga, nous signons la présente avant le 11 et le 15 Février, dates où Dieu a voulu les rappeler dans son Royaume.Annexe: Requête du…………..

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