*Le 24 février 2023, la guerre de la Russie contre l’OTAN qui se déroule à l’Ukraine, va totaliser une année ; une année de calvaire surtout pour le peuple Ukrainien, victime de la gouvernance de ses dirigeants politiques.
Il est plus que temps de penser aux négociations dans l’intérêt de tous. Une guerre entraîne de nombreuses victimes, de part et d’autre. Une année après, il y a lieu de parler d’enlisement ! Il faudrait négocier en vue d’obtenir un cessez-le feu et, bien plus, passer à la consolidation du nouvel ordre mondial, car le monde est victime d’un leadership désastreux et mon pays, la RDC, n’est pas à l’abri ni à la fin de ses affres. On lui impose une guerre à mobile cynique et sinistre.
Comme solution, pour mon pays, il faut saisir la main tendue de Poutine. Il ne faut pas se leurrer. On distrait le Congolais par la désinformation. C’est dans cette optique qu’on allègue une avancée diplomatique, un certain rapport du Trésor Américain qui cite nommément quelques personnes qui financent le génocide congolais, des relations conflictuelles au sommet entre deux pays voisins, etc.
A ce sujet, il faut savoir que deux personnes qui ont un même parrain ne peuvent entrer en conflit. Pas de distraction ! Nous voulons obtenir le résultat, c’est-à-dire inviter la jeunesse Congolaise à se prendre en charge en vue de saisir la main tendue de Poutine dans but ultime de créer une Organisation des Nations Unies (O.N.U) pour susciter la concurrence, le monopole ayant été une catastrophe mondiale.
Il nous faut une ou d’autres ONU, à siège tournant tous les cinquante ans, mais il est des amis qui ont proposé dix ans, au lieu de cinquantaine ans. Oui ! Dix ans, c’est acceptable, la numérisation du système de gestion ayant allégée le processus du déménagement d’un lieu à un autre.
La RDC est le mal aimé de l’ONU. Il faut envisager la quitter, un jour. Ses missions pour la paix suscitent plutôt de l’inquiétude. N’est-ce pas que Lumumba et Laurent-Désiré Kabila ont été assassinés au pays pendant que les casques bleus Onusiens étaient sur place ? Aujourd’hui, nous comptons dix millions de morts, en présence de la Monusco.
Je suis embarrassé ! Faudrait-il dire en présence ou avec la complicité de la Monusco ?
Non ! Je n’accuse pas sans preuve. Quitte aux lecteurs de répondre à la question ? Le Curé de la Paroisse Saint Agnès, à Kinshasa/N’djili, n’avait-il pas dit, un jour, dans son homélie que la solution réside là où se trouve le problème ? C’est dans ce cadre que plusieurs personnes (acteurs politiques et ceux de la Société Civile) ne cessent de réclamer, sans succès, à l’ONU, un procès pour les génocidaires Congolais, connus de tous, voire cités nommément dans plus d’un rapport de mission d’enquête diligentée par cette dernière.
Que faire face à une telle organisation dont on est pourtant membre ? Bh, Lui tourner, purement et simplement, le dos !