Investir dans les matières premières épuisables et 2) investir dans les inépuisables d’origine animale et végétale, la seconde option est graduellement la plus effective dans les États modernes car, ne subissant pas avec résignation la fixation des prix sur base des fluctuations des variables économiques au niveau international.
La RDC n’a de piliers solides dans aucune de ces deux possibilités. Considérant que les grandes firmes qui exploitent les matières premières non renouvelables (cuivre, cobalt, coltan) appartiennent aux expatriés, les rapatriements des capitaux se font ostensiblement au détriment de l’économie congolaise.
Pendant ce temps, la majorité des congolais s’abritent derrière les institutions politiques pour consommer allègrement le peu d’argent du trésor public. Qui a envoûté notre peuple

Anicet Yomboranyama