Yannick Sosongo, Directeur Général de Kisenge Manganèse, fait l’objet, depuis un temps, d’une campagne de dénigrement et de manipulation à grande échelle, alimentée, par des officines mal intentionnées, dans le seul souci de maculer son engagement en faveur de l’excellence et saboter, outre-mesure, ses réalisations alignées pour répondre aux attentes pressantes des populations. Ce, conformément à la vision du Chef de l’État Félix Tshisekedi.
Des prédateurs, dont sieur Lebon Mubenga, se seraient lancés, depuis près d’une année, dans une vaste campagne d’acharnement contre un seul membre du Comité de gestion, le Directeur Général. Dans cette bataille aux accents regressistes, des émissions truffées de mensonges sont mises en ligne, des publications dénuées de toutes vérités partagées sur les réseaux sociaux. Le tout contre un homme qui, pourtant, fait l’unanimité, depuis son installation aux affaires, pour sa gestion transparente ponctuée des multiples résultats palpables observés pendant seulement les deux ans de ses prestations. D’autres imposteurs, en profitent pour créer le doute dans le chef des autorités du pays. Est-ce à dire que tout ceci vient d’un même laboratoire ? Point de doute. Sinon, comment expliquer que l’on ne s’attèle nullement sur le bilan de l’actuelle équipe de gestion qui a réalisé des exploits en moins de deux ans?La dernière médisance, largement partagée sur la toile, est l’œuvre d’un certain Lebon Mubenga qui s’arroge le statut d’activiste de la société civile de Kisenge Manganèse. Cet imposteur, instrumentalisé et visiblement animé d’un tribalisme inédit, s’est donné l’audace, de dénigrer, à travers une émission diffusée sur la RTCE de Kinshasa, la gestion du trio Thamuk-Sosongo-Ngoya à la tête de la société commerciale la Minière de Kisenge Manganèse. Sans nullement convaincre car ne disposant d’aucune preuves tangibles, l’invité du journaliste Charly Lukuba de RTCE a balbutié alléguant plusieurs faits diffamatoires à l’endroit de ceux à qui le Président de la République a placé sa confiance pour redresser la Société Commerciale la Minière de Kisenge Manganèse. L’interlocuteur du journaliste Charly Lukuba fait de l’amalgame. Tantôt il invoque des contrats mafieux, des conditions sociales des agents, tantôt il accuse à tort d’autres structures tel que l’IGF voire des instances judiciaires. Bref, l’on comprend clairement que sieur Lebon Mubenga et ses complices veulent obtenir une seule chose : l’éviction ou mieux la tête du Directeur Général Yannick Sosongo. Une véritable chasse à l’hommeTenez! Figurant depuis plus de 43 ans sur la liste des entreprises publiques qualifiées de « canards boiteux » car improductives, Kisenge Manganèse s’en sort petit à petit grâce aux multiples efforts de l’actuel Comité de gestion. Contrairement à ce qui a été malencontreusement raconté par les détracteurs du Directeur Général Sosongo, voici la version des faits. S’agissant de l’accord de joint-venture entre la Société Commerciale la Minière de Kisenge Manganèse et la société TAURIAN MANGANESE DE KISENGE, TMK SA en sigle, ce contrat a été conclu pour une raison noble. Sa signature a été précédée d’une analyse approfondie de la capacité aussi bien technique, financière que sociale du partenaire par les experts des Ministères du Portefeuille et des Mines. Cet accord traduit la ferme volonté de l’actuel Comité de gestion d’associer un partenaire disposant d’une large expérience dans l’exploitation du manganèse et le développement des infrastructures y relatives. Et les résultats de cette joint-venture conclue le 3 novembre 2023 s’expriment par le paiement des salaires des employés et des retraités de la société. Les deux parties, notamment la SCKM-Mn et la TMK SA s’acquittent chacune de ses obligations contenues dans ce document interprété à tort par ceux qui veulent tout simplement bloquer l’élan de relance de cette société, jadis aux oubliettes. En ce qui concerne le protocole d’accord entre BLEU SKY MINING, BSM SARL en sigle et la Société Commerciale la Minière de Kisenge Manganèse, les auteurs de la chasse à l’homme se baignent dans une ignorance inouïe. Ce protocole a été signé sous les yeux du Ministre du Portefeuille à Kinshasa le 17 septembre 2024. Les deux parties avaient exprimé leur satisfecit pour la signature de ce contrat de joint-venture devant faciliter la relance de l’exploitation de l’or dans les concessions de Kisenge Manganèse. Le choix de Bleu Sky Mining a été motivé par sa riche expérience dans la prospection géologique et le décapage minier, sans parler de l’arsenal de matériels et équipements d’exploration et d’exploitation minière de pointe dont dispose cette entreprise chinoise. Et comme sieur Lebon Mubenga parle également du contrat signé avec la société TSM ENTREPRISES SARL, cette dernière n’était ni un contrat de Joint-venture ni un contrat mais plutôt un PROTOCOLE D’ACCORD DE RECHERCHE au bout duquel l’aspect financier reposait sur la réactivation des Permis de recherche qui étaient expirés depuis 2017. Comme pour les points précédents, l’accusateur fait preuve d’une intention délibérée de ternir l’image du Directeur Général de Kisenge Manganèse au regard de ses grossièretés. Au terme de l’article 1er de ce partenariat, la société TSM s’était engagée à financer toute la procédure d’obtention des notes de débit relatives aux droits superficiaires des permis de recherche N0 12891, 12892, 12893, 12894, 12898 et 462 et toute autre dépense relative à la réactivation des dits titres miniers et leur renouvellement auprès du Cadastre minier. C’était l’unique façon d’actualiser ces permis qui étaient déjà expirés.Pour ce qui concerne les arriérés plus de 200 mois évoqués, seul l’actuel Comité de gestion dont le leadership valorise le capital humain, partant, l’amélioration des conditions de travail des agents, se penche sur ce dossier très complexe. Sur ce sujet, une cette question perdure. Comment peut-on imputer tous ces arriérés au Trio Thamuk-Sosongo-Ngoya nommés le 30 juin 2023 et installés dans leurs fonctions le 30 août 2023 ? Encore que personne n’ignore, hormis des malintentionnés, l’état dans lequel cette équipe a trouvé la société commerciale la Minière de Kisenge Manganèse. Pour prouver qu’il s’agit d’un acharnement pur et simple, l’imposteur Lebon Mubenga accuse absurdement le Comité de gestion d’avoir écarté, via un congé technique, certains Directeurs de l’Administration et précipité d’autres à la retraite. Et comme pour les autres faits allégués, il ne dispose d’aucune preuve. L’imposteur n’a brandi ni lettre ni communiqué surtout pas un seul nom d’un quelconque employé en rapport avec ses faits mensongers. Les quelques agents qui sont restés à la maison, de manière périodique suite à certaines contraintes logistiques liées à la promiscuité dans l’ancien bureau sis au 285 de l’Avenue Mwepu, bâtiment EQUITYBCDC à Lubumbashi, ont tous repris le travail. Faisant de l’amalgame, l’homme accuse le Directeur Général de bloquer l’engagement des jeunes au sein de la Société Commerciale la Minière de Kisenge Manganèse. Il s’agit d’une preuve supplémentaire d’une intention visant tout simplement à instrumentaliser la communauté contre le Comité de Gestion d’autant plus que seul le Ministre du Portefeuille, en collaboration avec la plus haute hiérarchie du pays, a le monopole d’autoriser tout engagement dans les entreprises du Portefeuille de l’Etat. Dans sa turpitude teintée d’arrogance, Lebon Mubenga s’efforce d’ignorer, que le Ministre sortant du Portefeuille, Jean-Lucien Bussa, avait, à travers une correspondance adressée à tous les Directeurs Généraux des entreprises du portefeuille, interdit les engagements de nouvelles unités dans les sociétés de l’Etat. Comme pour jeter du discrédit et opposer les institutions, les unes contre les autres, le charlatan susmentionné, incrimine injustement l’Inspection Générale des Finances et des Instances judiciaires, les Ministères de Portefeuille et de Mines. Il les accuse de n’avoir réservé aucune suite à ses dénonciations. Effectivement, pour une raison si fondamentale d’autant plus qu’il s’agit d’un dossier vide monté dans les officines politiques dans le seul but d’évincer ceux qui inspirent l’air d’un redressement avéré de la Société Commerciale la Minière de Kisenge Manganèse. Les auteurs de cette cabale oublient, sans nul doute, que les autorités ne sont pas dupes et ne décident pas sur base des tapages. En réalité, la SCKM Mn SA qui se trouvait dans un état agonisant renait grâce au leadership du DG Yannick SOSONGO et de la DGA Gisèle NGOYA. Autrefois reconnue comme une mine de manganèse florissante parmi les grandes structures publiques, cette société a cessé sa production depuis les années 1978 en raison de la fermeture du chemin de fer Dilolo-Lobito. Bonne gouvernance, gage du succèsHériter de la gestion de Kisenge, c’est aussi accepter un passif lourd. En fin août 2023, Yannick Sosongo hérite d’une institution qui n’existait que de nom et en faillite, une comptabilité criblée des dettes. « Sur le plan financier, j’ai trouvé une dette au-delà de 87 millions de dollars. Les 3 plus grandes : la dette due au personnel actif tout comme non actifs évaluée à 36 millions de dollars, la seconde celle de la SNEL et la troisième fiscale et parafiscale », fait savoir le Directeur Général. Parmi les stratégies de l’actuel Comité de gestion, nos sources parlent d’une gestion orthodoxe, transparente et le sens élevé de collaboration qui se matérialise à travers une communication à la fois verticale et horizontale au sein de l’entreprise. Ce qui ravive l’espoir des agents malgré les multiples arriérés. Encouragé et apprécié par la quasi-totalité des employeurs, le Comité de gestion a déployé d’énormes efforts pour la relance de la production. Et c’est pour cette raison qu’ils ils ont la cible des ennemis du développement du pays. Vianney MUTULIRANO/CP