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Alerte sur des actes de corruption et des violations des droits de l’homme et des libertés fondamentales d’où qu’ils se produiraient dans les universités et instituts supérieurs publics et privés à Kinshasa et partout en République Démocratique du Congo

Par La Prospérité
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(Par Andersson Nzale Longbango)

Programmes : ESG (Environnement – Social – Gouvernance) – Droits Humains, Etat de Droit et justice sociale distributive pour tous, défense des droits de l’homme, des libertés fondamentales et des devoirs ou obligations des citoyens en République Démocratique du Congo et de la sensibilisation, la moralisation, la conscientisation et de la lutte contre la corruption, les antivaleurs, les abus et les dérapages au sein de l’enseignement supérieur et universitaire, recherche scientifique et innovations dans les universités et instituts supérieurs publics et privés à Kinshasa et partout à travers la République Démocratique du Congo.

Transmis Copie pour Information à :

  • Son Excellence Monsieur le Président de la République

      (Avec l’expression de mes sentiments les plus déférents)

  • Son Excellence Monsieur le Premier Ministre

      (Avec l’expression de ma plus haute considération)

  • Honorable la Présidente de l’Assemblée Nationale
  • Honorable le Président du Sénat
  • Son Excellence Monsieur le Vice – Premier Ministre chargé de l’Intérieur et Sécurité
  • Son Excellence Monsieur le Vice – Premier Ministre chargé de la Justice et Garde des Sceaux
  • Monsieur le Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme en RDC
  • Monsieur le Secrétaire Général du Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire en RDC
  • Monsieur le Secrétaire Permanant de la Commission Permanente des Etudes du Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire en RDC
  • Monsieur le Représentant de l’UNESCO en RDC
  • Monsieur le Conseiller Spécial du Chef de l’Etat en Matière de Sécurité
  • Monsieur l’Administrateur Général de l’Agence Nationale de Renseignement
  • Monsieur le Gouverneur de la Ville de Kinshasa
  • Monsieur le Président National de l’Association pour l’Accès à la Justice (ACAJ) : ONG de Défense des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo ;
  • Monsieur le Président National de l’Association Africaine des Droits de l’Homme (ASADHO), ONG de Défense des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo ;
  • Monsieur le Président de la Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV – DH) : ONG de Défense des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo ;
  • Monsieur le Coordonnateur National de la Nouvelle Société Civile Congolaise (NSSC) : ONG de Défense des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo ;
  • Monsieur le Président de l’Observatoire de la Dépense Publique (ODEP) : ONG de Défense des Finances Publiques en République Démocratique du Congo ;
  • Monsieur le Directeur Exécutif de la Ligue Congolaise de Lutte contre la corruption (LICOCO) : ONG de la lutte contre la corruption en République Démocratique du Congo ;
  • Monsieur le Coordonnateur National des Amis de Nelson Mandela pour la Défenses des Droits Humains (ANMDH) : ONG de Défense des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo ;
  • Monsieur le Coordonnateur National du Centre de Recherche en Finance Publique et Développement Local (CREFDL) : ASBL des Finances Publiques et Développement Local en République Démocratique du Congo ;
  • Monsieur le Coordonnateur National du Réseau National des ONG de Défense des Droits de l’Homme de la République Démocratique du Congo (RENAHOC).
  • Monsieur le Président de l’Observatoire Congolais des Droits de l’Homme (OCDH), ONGDH de Défense des Droits de l’Homme

         (TOUS) à KINSHASA/RDC

Concerne : lettre ouverte N°005/PF/PEI/GDDH/JAIVN/CIEGS/RDC/AFRIQUE/2025 du 03 octobre 2025 de rappel d’alerte d’urgence du CIEGS RDC Afrique à l’attention de Madame la Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire et Recherche Scientifique et Innovations relative à la demande de diligenter rapidement des missions d’enquêtes mixtes et indépendantes dans toutes les universités et instituts supérieurs publics et privés à Kinshasa et partout en République Démocratique du Congo face à une réalité et situation très tragique, dramatique, honteuse, critique, catastrophique, désastreuse, ridicule, chaotique et très embarrassante que vivraient les étudiants et étudiantes congolais durant leurs formation académique supérieure et universitaire en République Démocratique du Congo.

Rappelant clairement noir sur blanc les termes de l’introduction de l’Instruction Académique N°013/MINESU/CABMIN/ MML/KOB/2011 du 26/08/2011 à l’attention des Chefs d’Établissements Publics et Privés de l’Enseignement Supérieur et Universitaire qui renseigne que : « la présente Instruction Académique sus – mentionnée doit avoir une très large diffusion au sein de chaque Université et Institut afin d’éviter des malentendus. En conséquence, vous devez vous assurer que : chaque membre du comité de gestion, chaque membre du bureau facultaire/section, le directeur des services académiques, les chefs de départements, les appariteurs ainsi que la coordination des étudiants y compris les chefs de promotions aient un exemplaire de cette instruction pour éviter tout malentendu ou toute mauvaise interprétation. Les incidents malheureux vécus dans certains Établissements au cours de l’Année Académique 2010 – 2011 montrent que cette instruction n’a pas été respectée et diffusée correctement. N’oublions pas les dégâts humains et matériels enregistrés suite à la non diffusion et à l’absence de l’appropriation par tous ceux qui sont concernés par le contenu de la Directive Ministérielle. En conséquence, je vous enjoins instamment de vous y conformer scrupuleusement. Les directives ci – après vous y aideront. Elles concernent particulièrement les rubriques ci-après : – calendrier académique et directives pour la périodicité de différents rapports (annexes i et ii). – procédures relatives aux inscriptions et les différents frais dans les secteurs public et prive. – recherches et publications – relevé académique – activités para académiques – partenariat et coopération – sources de financement – gouvernance ».

Madame la Ministre, en ce jour, par cette lettre ouverte, encore une fois de plus, agissant conformément aux articles 11, 12, 13, 22, 23, 27, 31, 42, 43, 44, 45, 60, 62, 64 et 66 de la Constitution de la République Démocratique du Congo, aux articles 3, 4, 6, 7, 8, 9, 10, 12, 13, 14, 15, 17, 18, 19 et 20 de la loi N°23/027 relative à la protection et à la responsabilité du Défenseur des Droits de l’Homme en République Démocratique du Congo du 15 juin 2023, point n’est besoin de vous cacher encore les choses et de vous avouer publiquement que le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL de par sa mission et vision originelles, son mandat et ses objectifs globaux, prioritaires, stratégiques, opérationnels attache une très grande importance et est très préoccupé par la  défense, la sauvegarde, la surveillance, la promotion et la protection des Droits de l’Homme, des Libertés fondamentales et des devoirs ou obligations des citoyens en République Démocratique du Congo, en Afrique et partout à travers le monde et cela sous toutes ses formes.

C’est pourquoi, en ma qualité de Grand Défenseur des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales et de Président – Fondateur et Président Exécutif International du CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL, j’ai encore une fois de plus l’avantage de saisir officiellement votre autorité en ce jour à travers cette lettre ouverte conformément à l’article 27 de la Constitution de la République Démocratique du Congo afin d’adresser cette lettre ouverte et  mémorandum et recommandations pertinentes à l’attention de la Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire à l’approche et à la veuille de la rentrée académique prochaine de l’année 2025 – 2026 en République Démocratique du Congo fixée le 15 Octobre 2025 selon les informations ç notre possession en vue de vous demander d’assainir rapidement le secteur de l’Enseignement Supérieur et Universitaire qui fait couler beaucoup d’encre et des salives et des grincements des dents en prenant une série ou batterie des mesures idoines, efficaces, rapides, justes, salutaires et salvatrices à travers des arrêtés ministériels, des Instructions académiques Ministérielles, des Directives ou des Décisions ministérielles, des Notes circulaires pour ainsi remettre définitivement de l’ordre et enrayer ou endiguer le phénomène qui existerait de la vente des interrogations, de la vente des travaux pratiques par certains enseignants, de la vente des syllabus par certains enseignants, des examens oraux dépourvus d’objectivité, de vérité, de sincérité, de justice et de crédibilité et avec clientélisme, favoritisme et monnayage des points, de la pratique délibérée et intentionnelle des droits d’auteurs par certains enseignants qui se produiraient d’une façon ou d’une autre dans certaines des Universités et Instituts Supérieurs Publics et Privés à Kinshasa et partout en République Démocratique du Congo ainsi que d’autres abus similaires qui du reste ne seraient que des actes qui s’apparentent à une forme de corruption pure et simple et punissable selon le Code Pénal Congolais.

Madame la Ministre, le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL à travers ses vastes et grands programmes : ESG (Environnement – Social – Gouvernance) – Droits Humains, Etat de Droit et justice sociale distributive pour tous , défense des droits de l’homme, des libertés fondamentales et des devoirs ou obligations des citoyens en République Démocratique du Congo et de la sensibilisation, la moralisation, la conscientisation et de la lutte contre la corruption, les antivaleurs, les abus et les dérapages au sein de l’enseignement supérieur et universitaire dans les universités et instituts supérieurs publics et privés à Kinshasa et partout à travers la République Démocratique du Congo, encore une fois de plus, nous le répétons, après avoir suffisamment menées depuis longtemps et continuent à mener et à faire ses observations, ses consultations, ses études stratégiques, ses recherches et ses enquêtes des Droits de l’Homme en vue de rendre public dans les prochains jours et mois son rapport global, juste, honnête, cohérent, véridique, impartial et sans complaisance de l’année 2025 relatif au système éducatif supérieur et universitaire congolais au regard de l’applicabilité effective de l’Instruction académique N°026/CAB.MINESU/MIN/SASM/MMK/2024 du 28/10/2024 de la Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire de la République Démocratique du Congo portant directives pour l’année académique 2024 – 2025 Page 51, Point III.5.3 : des notes de cours et autres documents polycopies spécialement en ses points 161, 162, 163, 164 et 165 qui disposent en ces termes nous citons : II.5.3. Des notes de cours et autres documents polycopies : 161. Les notes de cours doivent orienter et inciter les étudiants â fréquenter les bibliothèques et à utiliser les technologies de l’information et de la communication pour leur recherche. 162.  Sans ce support,  l’énergie et l’attention de l’étudiant sont en bonne partie mobilisées par la simple prise des notes. L’étudiant qui est concentré sur la prise des notes est plus passif au point de vue Intellectuel que l’étudiant qui essaie de comprendre, de synthétiser, de compléter, qui se pose des questions, etc.  163.  Les supports électroniques doivent être remis aux autorités décanales au début de chaque année. Lesdits supports doivent être mis â la disposition des étudiants gratuitement, â la fin de la présentation de la partie théorique du cours. 164. Il est strictement interdit à tout enseignant de conditionner la réussite et la participation des étudiants aux cours, aux séances de travaux pratiques, aux stages, aux interrogations et aux examens, par l’achat de syllabus ou des notes de travaux pratiques. Cela n’est rien d’autre qu’un système de corruption et de monnayage des points qui s’est installé sous la fameuse pratique de « droit d’auteur ». Cette pratique reste formellement interdite.  165. La note circulaire n°30/MINESU/CABMIN/CPE/MNB/BLB/2021 du 06 juillet 2021 est claire quant à ce. Le non-respect de cette directive est sanctionné par le retrait des cours et/ou la suspension des personnes mises en cause.

De ce fait, et de tout ce qui précède, le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme et des libertés fondamentales en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL à travers ses vastes et grands programmes : ESG (Environnement – Social – Gouvernance) – Droits Humains, Etat de Droit et justice sociale distributive pour tous , défense des droits de l’homme, des libertés fondamentales et des devoirs ou obligations des citoyens en République Démocratique du Congo et de la sensibilisation, la moralisation, la conscientisation et de la lutte contre la corruption, les antivaleurs, les abus et les dérapages au sein de l’enseignement supérieur et universitaire dans les universités et instituts supérieurs publics et privés à Kinshasa et partout à travers la République Démocratique du Congo, continue d’alerter et considère que la note circulaire N°30/MINESU/CABMIN/CPE/MNB/BLB/2021 du 06 juillet 2021 est claire quant à ce. Le non-respect de cette directive est sanctionné par le retrait des cours et/ou la suspension des personnes mises en cause. Et que les personnes qui seront désormais mises en cause, compromises et incriminées pour manquements et faute professionnelles graves et avérés soient effectivement, sérieusement, sévèrement et immédiatement sanctionnées conformément aux textes, aux lois de la République Démocratique du Congo, aux règlements, aux Instructions académiques, aux notes circulaires, aux arrêtés et aux décisions de la Ministre et autres qui régissent l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations en République Démocratique du Congo et cela dans toutes les Universités et Instituts Supérieurs Publics et Privés à Kinshasa et partout en République Démocratique du Congo et à travers cette une alerte, le CIEGS RDC AFRIQUE attire encore une fois de plus l’attention de Madame la Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations de prendre rapidement une  série et batterie des mesures fermes, urgentes, salutaires et salvatrices en vue d’éviter le mal à savoir : les actes de corruption, de monnayage des points, des côtes et des notes par certains enseignants, des interrogations monnayées par certains enseignants, de vente des travaux pratiques par certains enseignants, d’exigence des droits d’auteurs par certains enseignants pendant certains examens oraux qui manquent de transparence, de crédibilité, de justice, de vérité, de rigueur, d’impartialité et bien d’autres maux qui mineraient dangereusement le système éducatif et le secteur de supérieur et universitaire congolais et qui feraient de sorte qu’aucun Congolais sérieux et digne de nom et qui aime sincèrement et véritablement son pays la République Démocratique du Congo dans son cœur n’accorde de l’estime et de la considération au niveau et à la qualité de l’enseignement supérieur et universitaire congolais et à la qualité des diplômes supérieurs et universitaires y délivrés.

De ce fait et de tout ce qui précède, CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme, des libertés fondamentales et des obligations ou devoirs des citoyens en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL en appelle encore une fois de plus à Madame la Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations d’ouvrir, de lancer et de diligenter immédiatement et sans plus tarder des missions enquêtes mixtes et indépendantes, académiques approfondies et sans complaisance composés des Inspecteurs de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations, des Représentants du Ministère de la Justice et Garde des Sceaux, des Représentants du Ministère des Droits Humains, des Représentants de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), des Défenseurs des Droits de l’Homme, des Représentants des ONG de Défense des Droits de l’Homme, des Représentants des Organisations membres de la Société Civile Congolaise qui militent depuis très longtemps en RDC dans le domaine de l’éducation, de la lutte contre la corruption et la bonne gouvernance en RDC et cela dans le cadre du Programme ESG(Environnement – Social – Gouvernance) – Droits Humains en vue de descendre rapidement dans  toutes les Universités et Instituts Supérieurs Publics et privés à Kinshasa et partout en République Démocratique du Congo pour palper sur terrain toutes les réalités du doigt, vérifier l’applicabilité stricte de son Instruction académique N°026/CAB.MINESU/MIN/SASM/MMK/2024 du 28/10/2024, de la Constitution de la République, des lois, et tous les textes réglementaires : arrêtés ministériels, décisions ministérielles, notes circulaires et autres qui régissent le Secteur de l’enseignement supérieur et Universitaire Congolais et faire rapidement un rapport global, complet, intègre, honnête, juste, correct, véridique, sans complaisance et impartial à Madame la Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovation, ce qui l’amènera de prendre rapidement à la veuille de la rentrée académique de l’année 2025 – 2026 des très grandes décisions justes, stratégiques, administratives, conservatoires, disciplinaires, académiques et pédagogiques pour réprimer sévèrement et sans injustice, favoritisme et complaisance aucune tout manquement et toute personne qui se serait compromise dans l’exercice de ses fonctions et cela conformément à son l’Instruction académique N°026/CAB.MINESU/MIN/SASM/MMK/2024 du 28/10/2024 de la Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire de la République Démocratique du Congo portant directives pour l’année académique 2024 – 2025 ainsi que la note circulaire n°30/MINESU/CABMIN/CPE/MNB/BLB/2021 du 06 juillet 2021 qui est claire quant à ce, et stipule que le non-respect de cette directive est sanctionné par le retrait des cours et/ou la suspension des personnes mises en cause. Et que les personnes qui seront effectivement compromises, mises en cause soient immédiatement, effectivement et sévèrement sanctionnées conformément aux textes, aux lois de la République Démocratique du Congo, aux règlements, aux Instructions académiques, aux notes circulaires, aux arrêtés et aux décisions de la Ministre et autres textes légaux et réglementaires qui régissent l’Enseignement Supérieur et Universitaire en République Démocratique du Congo.

Madame la Ministre, conformément à l’Instruction académique N°026/CAB.MINESU/MIN/SASM/MMK/2024 du 28/10/2024 de la Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire de la République Démocratique du Congo portant directives pour l’année académique 2024 – 2025 ainsi que la note circulaire n°30/MINESU/CABMIN/CPE/MNB/BLB/2021 du 06 juillet 2021, le CIEGS RDC Afrique comme toujours, à travers ses programmes ses vastes et grands programmes : ESG (Environnement – social – gouvernance) – Droits Humains, état de droit et justice sociale distributive pour tous, défense des droits de l’homme, des libertés fondamentales et des devoirs ou obligations des citoyens en République Démocratique du Congo et de la sensibilisation, la moralisation, la conscientisation et de la lutte contre la corruption, les antivaleurs, les abus et les dérapages au sein de l’enseignement supérieur et universitaire, recherche scientifique et innovations dans les universités et instituts supérieurs publics et privés à Kinshasa et partout à travers la République Démocratique du Congo, considère et estime que pour renforcer le sérieux, la confiance, l’estime, la crédibilité, la transparence, l’honnêteté, la justice, la vérité, l’ordre, l’éthique, l’équité et le sérieux du système éducatif supérieur et universitaire congolais ainsi que dans les milieux supérieurs et universitaires congolais et implémenter désormais la culture de la méritocratie, de l’excellence, de l’éthique, de l’équité, de la justice, de la transparence, de la vérité, de la bonne gouvernance, du respect de la Constitution, des lois de la République Démocratique du Congo ainsi que tous les textes légaux et réglementaires qui régissent l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations Congolais et en vue d’implémenter désormais le programme ESG (Environnement – Social – Gouvernance) – Droits Humains en leurs sein,  insiste et continue d’alerter, d’attirer l’attention de la Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations de prendre rapidement des mesures fortes et fermes en vue d’éviter et de prévenir le mal à la veuille de la rentrée académique prochaine de l’année 2025 – 2026 assorties des sanctions administratives, disciplinaires, académiques et pédagogiques contre toute forme possible de déviationnisme, de violation intentionnelle des textes légaux et réglementaires en vigueur et République Démocratique du Congo à savoir : la loi-cadre sur l’enseignement national, les Décrets du Premier Ministre relatifs à l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations (LMD et autres), les Arrêtés Ministériels, le Cadre Normatif LMD, les Instructions académiques, les Décisions et les directives Ministérielles, les Notes circulaires et autres à l’encontre de tout personnel académique, scientifique et administratif des Universités et Instituts Supérieurs publics et privés à Kinshasa et partout en République Démocratique du Congo qui violerait ces dispositions ou qui s’illustrerait par des actes avérés de corruption, de monnayage des points, des cotes ou de notes, de la pratique des interrogations monnayées par certains enseignants, de la pratique de la vente des travaux pratiques par certains enseignants, de la pratique de la vente des syllabus des Cours par certains enseignants, de la pratique de demande des droits d’auteurs lors de certains examens oraux par certains enseignants ainsi que d’autres antivaleurs qui existeraient dans les milieux supérieurs et universitaires congolais et qui s’apparentent à des formes avérées de corruption sanctionnés par le droit congolais et en plus par la mise sur pied et de l’installation rapide des centres de monitoring et de dénonciation des actes de corruption et des violations des droits de l’homme et des libertés fondamentales autonomes du Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations dans toutes les Universités et Instituts Supérieurs publics et privés à Kinshasa et partout en République Démocratique du Congo avec des numéros verts d’appel gratuit et des numéros d’appel WhatsApp et des e – mails pour permettre à tout étudiant ou étudiante, personnel académique, scientifique et administratif ainsi que toute autre personne victime ou lésée dans ses Droits de l’Homme et ses libertés fondamentales et spécialement le Droit à l’éducation alerter rapidement ce centre de monitoring et de dénonciation des actes de corruption et des violations avérées des droits de l’homme et des libertés fondamentales, de recevoir les plaintes et les dénoncions et aussi dénoncer ouvertement et publiquement à travers ses rapports périodiques, hebdomadaires, mensuels, trimestriels, semestriels et annuels tous les actes de violation des Droits de l’homme et des libertés fondamentales avérés enregistrés en son sein dans les Universités et Instituts Supérieurs publics et privés à Kinshasa et partout en République Démocratique du Congo et d’informer et d’alerter le Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations et les pouvoirs et Institutions publics de la République Démocratique du Congo ainsi que tous les mécanismes nationaux et internationaux de défense, de protection et de promotion des Droits de l’Homme de toutes ces dérives totalitaires et les violations avérées des Droits de l’homme et des libertés fondamentales, spécialement le Droit à l’éducation tels que consacrés aux articles 42, 43, 44 et 45 de la Constitution de la République Démocratique du Congo et aussi de veiller, de garantir, de sensibiliser, de promouvoir, de moraliser et de conscientiser toute la Communauté Universitaire à savoir : le personnel ou corps académique, le personnel ou corps scientifique et le personnel ou corps administratif au regard de l’Instruction académique N°013/MINESU/CABMIN/ MML/KOB/2011 du 26/08/2011 à l’attention des Chefs d’Établissements Publics et Privés à Kinshasa de l’Enseignement Supérieur et Universitaire partout à travers la République Démocratique du Congo au strict respect des textes qui régissent l’enseignement supérieur et universitaire congolais ainsi que des sanctions disciplinaires, administratives, académiques, pédagogiques et pénales qui en découlent et qui vont s’en suivre en cas de manquement ou violation intentionnelle, délibérée et avéré de ces textes légaux et réglementaires qui régissent l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovations Congolais.

Pour terminer, Madame la Ministre, le CIEGS RDC Afrique : ONG de défense des droits de l’homme, des libertés fondamentales et des obligations ou devoirs des citoyens en RDC, en Afrique et partout à travers le monde et ASBL considère que la Constitution, les lois de la République ainsi que tous les textes juridiques, légaux et réglementaires qui régissent l’Enseignement Supérieur et Universitaire Congolais doivent désormais être scrupuleusement observés et respectés par tous sans exception et exclusion face à tout acte qui adviendrait de corruption, de monnayage des points ou des côtes, des interrogations monnayées par certains enseignants, de vente des travaux pratiques par certains enseignants, d’exigence aux étudiants des droits d’auteurs par certains enseignants pendant certains examens oraux qui manquent de transparence, de crédibilité, d’objectivité, de rigueur, de justice, de vérité et d’impartialité ainsi que bien d’autres maux et antivaleurs d’où qu’ils viendraient et d’où qu’ils se produiraient d’une façon ou d’une autre à travers les Universités et Institut Supérieur Publics et Privés à Kinshasa et partout en République Démocratique du Congo qui mineraient davantage et dangereusement le secteur supérieur et universitaire congolais et qui font qu’aucun congolais sérieux et digne de ce nom n’accorde de l’estime, de l’égard et de la considération à la qualité de l’enseignement supérieur et universitaire congolais et à la qualité des diplômes supérieurs et universitaires qui y seraient délivrés, méritent d’être totalement, complètement bannis, effectivement et sévèrement réprimés et sanctionnés sous toute ses formes par votre autorité et leadership à la tête depuis plusieurs année du Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Recherche Scientifique et Innovation en République Démocratique du Congo et cela en vue d’assainir rapidement votre secteur.

Fait à Kinshasa, le 03/10/2025

LE CIEGS RDC AFRIQUE

ONGDH DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME

ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET ASBL

Le Président – Fondateur et

Président Exécutif International

James Andersson NZALE LONGBANGO

MONGA TSHAMBU ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS

Le Grand Défenseur des Droits de l’Homme

Le Cher du Feu, le Char d’Israël et sa cavalerie

Le Vaillant Héros et Grand Lion

E – mail: ciegsrdc2022@gmail.com ,  ciegsrdc2023@gmail.com

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