Dans la dynamique institutionnelle insufflée par le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Gouverneur de la Ville-province de Kinshasa, Daniel Bumba Lubaki, se distingue par une gouvernance alignée, disciplinée et orientée vers les résultats. A la suite des orientations présidentielles, livrées ce lundi 8 décembre 2025 lors du discours sur l’état de la Nation, et accueillies comme un véritable cadre stratégique, le Premier Citoyen de la capitale a engagé une mise en œuvre méthodique des priorités urbaines, traduisant une vision de leadership responsable au service de tous les Kinois.
Orientations présidentielles : une boussole stratégique pour l’action publique
Loin de toute réaction défensive, Daniel Bumba a perçu les directives du Chef de l’État comme un levier de renforcement de la gouvernance urbaine. Écoute, sens de l’État et discipline institutionnelle constituent désormais les fondements d’une approche administrative nouvelle : celle qui transforme les orientations du sommet en actions palpables sur le terrain.
Assainissement, réorganisation des services urbains, lutte contre l’insalubrité, gestion rationnelle des espaces publics : autant d’axes prioritaires engagés avec rigueur par l’exécutif provincial. Cette méthode répond non seulement aux attentes présidentielles, mais également aux préoccupations exprimées depuis longtemps par les Kinois.
En plaçant l’obligation de résultats au cœur de son action, le Gouverneur Bumba confirme une conviction claire : la crédibilité d’une institution se mesure à sa capacité d’exécuter, avec constance et méthode, les responsabilités qui lui incombent.
Une capitale en travaux : 120 km de routes livrés, un rythme inédit
Depuis son accession à la tête de Kinshasa, Daniel Bumba revendique une dynamique d’infrastructures jamais observée depuis plusieurs décennies. En quinze mois, 105 kilomètres de routes ont été finalisés, portant le total à près de 120 kilomètres d’ouvrages livrés depuis le début de son mandat.
Pour une administration provinciale opérant avec des moyens limités, ce volume de chantiers atteint un niveau rarement égalé. Il marque une rupture nette avec les années d’abandon, d’interventions superficielles et de retouches dépourvues de vision durable.
Cette progression intervient toutefois dans un contexte d’attentes citoyennes très fortes. Accélération démographique — près de 20 millions d’habitants —, mobilité saturée, vieillissement des infrastructures : autant de défis structurels qui alimentent impatience et critiques. Mais pour le Gouverneur, cette tension est le signe d’une exigence légitime.
« Je suis là pour changer cette ville. Nous réalisons ce qu’il y a à faire, avec méthode et sur le long terme », déclarait-il sur Top Congo FM, rappelant la vocation durable de ses réalisations.
Assainissement : des avancées réelles malgré l’ampleur des besoins
L’assainissement demeure l’un des chantiers les plus emblématiques des attentes populaires. Sur ce front, l’exécutif provincial revendique une progression notable : près de 79 % des opérations de curage programmées ont été menées à bien.
Les rivières urbaines à l’instar de Yolo, Lukunga, Gombe, Bitshaku Tshaku, ont bénéficié d’interventions qui accélèrent l’écoulement des eaux et réduisent les inondations. Certaines zones critiques demeurent toutefois complexes, notamment autour de l’Hôtel de Ville, où des collecteurs n’ont pas été curés depuis plus de quarante ans.
Ici encore, le Gouverneur privilégie une approche structurée : études préalables, schémas durables et interventions méthodiques, loin des solutions cosmétiques du passé.
Une gouvernance lucide face à un héritage lourd
Les critiques croissantes adressées à la gouvernance provinciale traduisent moins un rejet qu’un immense espoir : celui d’une transformation rapide d’une capitale longtemps négligée. Depuis deux décennies, peu de politiques de drainage, de voirie ou d’urbanisme ont résisté à l’épreuve du temps. Les travaux menés par le passé n’ont souvent été que des réponses superficielles, parfois entachées de détournements et d’irrégularités.
Dans ce contexte, la méthode Bumba s’impose comme une rupture : planification, transparence, chantiers durables et obligation de résultats. « Nous faisons plus avec moins », insiste-t-il, rappelant qu’aucune équipe provinciale avant lui n’a réalisé un tel volume de travaux sans l’appui massif du gouvernement central.
Responsabilisation citoyenne et vision durable
Pour Daniel Bumba, la reconstruction de Kinshasa ne se résume pas aux infrastructures. Elle passe également par un changement des comportements. Sans une éducation citoyenne renforcée — respect des ouvrages, gestion des déchets, discipline urbaine —, le cycle de dégradation menace de se répéter indéfiniment.
Cette vision responsable place le citoyen au cœur de la transformation, faisant de chacun un acteur essentiel de la modernisation de la capitale.
Un leadership responsable tourné vers l’avenir
En alignant son action sur les orientations du Chef de l’État et en déployant une politique de chantiers structurants, Daniel Bumba Lubaki redonne à Kinshasa un cap clair : celui d’une capitale organisée, assainie et durable.
Le Gouverneur inscrit son mandat dans une temporalité réaliste : agir aujourd’hui pour bâtir demain, sans céder à la facilité du court terme. Cette gouvernance responsable, méthodique et disciplinée pose les bases d’une ville qui, pour la première fois depuis longtemps, affiche des résultats mesurables et une trajectoire d’amélioration continue.
A travers cette démarche, Kinshasa s’engage progressivement sur la voie d’une transformation profonde — une transformation bâtie pour durer, au bénéfice de tous les Kinois.
John Ngoyi