*Des rumeurs difficiles à contrôler qui alimentent les réseaux sociaux font état de la vente par ‘’Trade Power » que dirige Eric MONGA, du courant de la SNEL (Société Nationale d’Electricité) à des tiers. Mais, à dire vrai, ces rumeurs semblent avoir été créées de toutes pièces par ceux-là qui n’ont d’imagination fébrile que lorsqu’il s’agit de vilipender gratuitement les vrais investisseurs et les hommes intègres.
En réalité, l’électricité qui est vendue par » Trade Power » provient de la Centrale Electrique du Congo (CEC), de l’Energie Electrique du Congo (EEC) et bien évidemment, à partir de la grande société pétrolière Italienne ENI qui, elle, fournit le gaz à partir duquel le courant électrique est produit.
L’entreprise Trade Power achète 25 MW mais, bien avant, Trade Power a commencé à acheter 5 MW progressivement jusqu’à arriver à avoir 25 MW et puis, il le revend à ses clients miniers disséminés au Katanga, plus précisément, dans la ville de Lubumbashi.
Concernant le transport de ces 25 MW jusqu’à Lubumbashi, la Société »’Trade Power »’ utilise plutôt le service de la SNEL moyennant le paiement.
D’ailleurs, la firme ENI est présente à Pointe Noire, au Congo/Brazzaville et y produit le gaz qui permet à la CEC de produire du courant que » Trade Power » importe suivant le contrat signé entre la SNEL et le Congo-Brazzaville EEC, avec l’autorisation des Conseils d’administration et des gouvernements de la RD. Congo et du Congo-Brazzaville via les Ministres respectifs de ces deux pays qui, dans leurs attributions, sont chargés de l’Energie et Ressources Hydrauliques.
Et Trade Power, à son tour, le revend à ses clients, plus particulièrement, dans la ville de Lubumbashi.
Concrètement, »Trade Power » ne vend pas le courant de la SNEL de la RDC mais, utilise plutôt les lignes de ladite SNEL pour le transport de ce courant qui est produit par CEC et EEC via ENI à partir du gaz que cette société pétrolière fournit à Pointe Noire.
Traçabilité garantie
Ce transport du courant par la SNEL est régulièrement payé par la société Trade Power, les preuves de toutes les opérations étant disponibles et vérifiables.
Donc, il y a lieu d’affirmer qu’aucun membre de cette entreprise n’a été inquiété, ni menacé.
Poursuites judiciaires…
En revanche, si cette campagne de diabolisation et ces fausses dénonciations continuent, Trade Power, à son corps défendant, se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires contre les alchimistes de l’intox, des Fake News et, même, des Infox ! Un homme avertit, en vaut deux, dit-on.
SKM/CP

