
*’’En lançant les 28 et 29 juillet 2022, des appels d’offres pour l’attribution des droits des hydrocarbures, le Président de la RD. Congo tient ainsi à répondre à deux défis majeurs d’ordre énergétique, à savoir: la mise en valeur de ses ressources en hydrocarbures et la satisfaction du besoin croissant d’énergie pour le bien-être de sa population et le développement des activités économiques. Le pétrole est aussi le baromètre de l’économie. Lorsqu’on a un accès difficile au pétrole (carburants), le coût de la vie monte.
Par contre, lorsqu’on a accès facile au pétrole, le prix des biens et services baissent et la population a accès à un minimum vital. Il est donc étonnant que cette démarche salutaire suscite la colère de l’ONG internationale GREENPEACE pour des raisons difficilement maîtrisables. En effet, nous tenons à insister que le gouvernement congolais s’est engagé en ce que l’exploitation pétrolière se fasse, conformément aux normes environnementales. Il est, d’ailleurs, prévu en plus une évaluation stratégique et un système de gestion environnementale. Il sera incorporé une étude d’impact environnemental et social, assortie d’une gestion environnementale et sociétale pour chaque site’’, explique Alain Lubamba wa Lubamba, Expert en Responsabilité Sociale d’Entreprise, RSE en sigle, Ancien Député National, Vice-Ministre honoraire des Affaires Etrangères et Président de l’Organisation pour la Protection de l’Environnement (OPE), dans une réaction à la Déclaration de l’Ong Internationale Greenpeace.
Pour lui, en effet, ‘’les populations locales bénéficieront de plusieurs avantages en termes d’interventions sociales (construction des écoles, des routes, des hôpitaux …), tels que fixés par la loi’’.
‘’Ainsi donc, les craintes de GREENPEACE ne sauraient se justifier étant donné que les opérateurs seront tenus au principe de « pollueur-payeur » lors de cette phase. Il s’agira d’une compensation selon qu’elle est sociale, économique ou écologique. D’où, son impact positif dans la vie sociale des populations congolaises’’, conclut-il.
La Pros.
Réaction de l’Honorable Alain Lubamba à la déclaration de l’ONG Internationale Greenpeace
Jusqu’à quel moment la RDC va-t-elle à observer son pétrole comme du poisson dans un aquarium ? En échange de quoi la RDC protège ses forêts pour supporter le réchauffement climatique provoqué par l’exploitation industrielle des pays développés principalement à l’aide du charbon et du pétrole?
L’ONG internationale GREENPEACE devrait, avant tout, s’occuper des pays qui, à ce jour, remettent le charbon et le nucléaire en jeu, au mépris des contraintes et des menaces climatiques.
Elle devrait également s’occuper en priorité, des pays qui développent le gaz de schiste et augmentent leurs consommations en produits pétroliers.
Avant de s’intéresser au pétrole congolais et aux tourbières de la RDC, GREENPEACE et ses ONGs partenaires locaux devraient faire preuve de sincérité, de justice et de solidarité en se battant ou en plaidant auprès de la Communauté Internationale et de leurs propres bailleurs de fonds pour UN PRIX RÉMUNÉRATEUR DU CRÉDIT CARBONE AU PROFIT DE LA RDC, 2ème POUMON VERT de l’humanité dont la contribution face au réchauffement climatique est connue de toutes les citoyennes et tous les citoyens du monde.
En ce qui concerne l’exploitation pétrolière, il est clair que la RDC, se servant de ses erreurs dans le secteur minier, va conduire avec responsabilité, toutes les études d’impact environnemental et développera des matrices d’atténuation efficaces.
Greenpeace et ses partenaires doivent noter qu’extraire et commercialiser les produits pétroliers de nos réserves est un devoir patriotique en vue de donner un enseignement et des soins de santé de qualité aux congolais, développer des infrastructures de compétitivité utiles à notre économie.
La République Démocratique du Congo a le droit de porter son développement par tête d’habitant, tant qu’elle ne pollue pas autant que les donneurs des leçons.
La RDC a besoin des moyens conséquents pour rattraper son retard dans la construction des infrastructures importantes afin d’améliorer les conditions de vie de sa population.
En lançant les 28 et 29 juillet 2022, des appels d’offres pour l’attribution des droits des hydrocarbures, le Président de la RD. Congo tient ainsi à répondre à deux défis majeurs d’ordre énergétique, à savoir: la mise en valeur de ses ressources en hydrocarbures et la satisfaction du besoin croissant d’énergie pour le bien-être de sa population et le développement des activités économiques. Le pétrole est aussi le baromètre de l’économie.
Lorsqu’on a un accès difficile au pétrole (carburants), le coût de la vie monte.
Par contre, lorsqu’on a accès facile au pétrole, le prix des biens et services baissent et la population a accès à un minimum vital.
Il est donc étonnant que cette démarche salutaire suscite la colère de l’ONG internationale GREENPEACE pour des raisons difficilement maîtrisables.
En effet, nous tenons à insister que le gouvernement congolais s’est engagé en ce que l’exploitation pétrolière se fasse, conformément aux normes environnementales.
Il est, d’ailleurs, prévu en plus une évaluation stratégique et un système de gestion environnementale.
Il sera incorporé une étude d’impact environnemental et social assortie d’une gestion environnementale et sociétale pour chaque site.
Les populations locales bénéficieront de plusieurs avantages en termes d’interventions sociales (construction des écoles, des routes, des hôpitaux …), tels que fixés par la loi.
Ainsi donc, les craintes de GREENPEACE ne sauraient se justifier étant donné que les opérateurs seront tenus au principe de « pollueur-payeur » lors de cette phase.
Il s’agira d’une compensation selon qu’elle est sociale, économique ou écologique.
D’où, son impact positif dans la vie sociale des populations congolaises.
Alain Lubamba wa Lubamba
Expert en RSE
Député National honoraire & Président de l’Organisation pour la Protection de l’Environnement (OPE)