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Livres : « Mon appel » du Prophète Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac, un support pour le peuple de l’Eternel Dieu !

Par La Prospérité
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De l’ancien testament au nouveau, le Très Haut, le Bon Dieu, dans son amour infaillible, parle toujours  à travers ses oints, prophètes et ses élus. C’est le  cas du prophète Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac qui a passé toute sa vie qu’être à l’écoute de l’Eternel Dieu. Voilà pourquoi, dans un livre intitulé « Mon Appel », l’Homme de Dieu expliqua son parcours sacerdotal pour amener les enfants de Dieu vers le chemin de vie éternelle. « Après plus d’un demi-siècle de vie sacerdotale, le moment est venu, sur ordre du Très-Haut, de livrer au monde, par un support visuel écrit, ce qu’il a semé en moi et écrire le début de mon parcours prothétique », tel est la raison du livre « Mon  Appel ». Rappelons que le prophète Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac vient d’être rappelé par l’Eternel Dieu le samedi 20 août dans la soirée à Kinshasa, à l’âge de 92 ans et ce, après 67 ans de vie sacerdotale. Il sera inhumé le 29 octobre dans le Manianga au siège spirituel de l’Eglise à Mont Matangi près de son village natal Makaba, dans le secteur de Kinkenge, territoire de Luozi dans la province du Kongo Central, en RDC. Bien avant, les KCCistes (fidèles de l’EBNM, Ndlr) pourront lui rendre les derniers hommages au Palais du peuple où sa dépouille sera exposée du 27 octobre au 28 le matin, jour où l’illustre disparu sera acheminé dans son Manianga natal. Toute sa vie, le prophète Dizolele n’a enseigné que l’Eternel comme le seul vrai Dieu et l’obéissance à sa parole. Ci-dessous, l’intégralité du parcours du Prophète Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac.

« Après plus d’un demi-siècle de vie sacerdotale, le moment est venu, sur ordre du Très-Haut, de livrer au monde, par un support visuel écrit, ce qu’il a semé en moi et d’écrire le début de mon parcours prophétique ».

Cette déclaration est de son Éminence le prophète Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac, Chef spirituel et Fondateur visible de l’Eglise Bon Nouveau Message (KCC) « EBNM », dans la partie introductive de cet ouvrage intitulé « Mon appel ».

De prime abord, il est à noter que cette brochure écrite par son Éminence Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac est disponible en deux éditions. La première est sortie en juillet 2010, tandis que la seconde en  février 2020, qui est en fait une version enrichie de la première.

Dans la première édition, le prophète Dizolele présente un recueil d’évènements de haute portée spirituelle ayant marqué l’histoire de son appel par l’Éternel Dieu. 

La deuxième édition éclaire davantage le peuple de Dieu et vient renforcer la compréhension sur les révélations divines que le Prophète a reçues, à travers des explications et illustrations de ces révélations, par des faits historiques concrets qui ont marqué sa vie.

Son souhait, peut-on lire dans « Mon appel », est que le monde arrive à reconnaître que l’Éternel Dieu continue à parler à ses Oints, quels qu’en soient la race, le temps et l’espace.

La mission de ramener les âmes à l’Éternel, souligne-t-il, est dévolue aux Prophètes, hommes élus, Oints et appelés par le Très-Haut lui-même, tels que Moïse (Exode 3:3-6); Samuel (1Samuel 3:3-10); Isaïe (Isaïe 6:6-10 ); Ézéchiel (Ezéchiel 2:1-4), etc.

Ainsi, déclare-t-il : « Elu et consacré Prophète moi aussi pour apporter le salut à son peuple par le KCC ou Bon Nouveau Message qu’il m’a confié, j’ai souvent transmis oralement les grands faits spirituels et historiques que j’ai vécus dans l’accomplissement de mon ministère ».

 » Mon appel  » est donc un récit des témoignages que le prophète Dizolele présente à tous ceux qui aiment, honorent et glorifient l’Éternel, et à ceux qui le cherchent encore, lui, l’Unique Dieu, le Seul Seigneur et Sauveur.

Hormis l’introduction et la conclusion, cette brochure comprend trois chapitres, décrivant le processus du début de son ministère, partant des apparitions vécues à Forakam, jusqu’à la formation du noyau initial de l’Eglise Bon Nouveau Message ( KCC ), en passant par des pérégrinations, les révélations et les manifestations divines qu’il a vécues.

Le chapitre premier est intitulé : Appel et pérégrinations; le deuxième porte sur les manifestations divines à Boma et enfin le troisième traite de l’Eglise naissante.

S’agissant du premier chapitre, le Prophète explique le contexte de son appel par l’Éternel, en mars 1955 à Forakam, Société Forestière et Agricole de Nkama-Nzanza, basée à Seke-Banza au Kongo Central, où il est allé chercher de l’emploi, sur invitation de son ami Mvika Michel qui habitait le camp Teli. (Teli: déformation de Atelier).

En effet, peut-on retenir, les évènements pour le jeune Isaac Dizolele, qui n’avait que 25 ans en ce moment, commencent le 08 mars 1955.

Il l’affirme en ces termes : « Le 08 mars 1955, je reçus l’appel du Seigneur à l’instar de Jérémie d’Anathoth, et de bien d’autres prophètes ».

Aussi, poursuit-il : « Les journées du 08 au 13 mars 1955 furent une période particulière durant laquelle j’eus des apparitions, des visions et des révélations ».

Signalons à ce sujet qu’il y a eu au total quatre apparitions vécues par le prophète Dizolele.

Des apparitions

La première apparition a eu lieu dans la nuit du 07 au 08 mars 1955. Dans son profond sommeil, déclare-t-il : « Une voix m’appelle : Isaac ! Quand je répondis : oui, je me vis tout à coup dehors et debout à côté d’un homme qui me dit : suis-moi. Je le suivis et à deux, nous franchissâmes une immense forêt et puis une vaste étendue de brousse au milieu de laquelle j’observais un carrefour reliant trois chemins ».

« Arrivés au carrefour, je réalisais spirituellement que nous venions de parcourir environ quatre cents kilomètres. L’homme qui m’y avait conduit avait disparu », déclare-t-il.

A l’instant même, regardant vers le lever du soleil, il va apercevoir de loin, selon ses explications, un autre homme venir vers lui et qui va le prendre avec sa main, levant son bras, secouant sa tête et l’invitant à une autre promenade.

Après avoir parcouru encore une longue distance avec ce dernier, ils arrivent à une vaste étendue de terre qui lui fut montrée, un puits très profond d’eaux limpides comme du cristal, dans lequel nageaient beaucoup de gros poissons, et plus loin encore un étang d’eaux noires avec des poissons semblables à ceux du puits.

Il comprit qu’il aura de lourdes et nombreuses responsabilités. Le puits d’eaux limpides où il lui est recommandé de s’abreuver de temps en temps représente l’Éternel, tandis que l’étang d’eaux non limpides et sombres renvoie au monde des ténèbres.

 « Dans cet étang, me dit-il, se massent des poissons semblables à ceux du puits que je venais de te montrer. Mais, ajouta-t-il, tu ne les toucheras point et tu ne boiras jamais de cette eau ».

A leur retour du puits et du carrefour, par le même chemin, écrit le prophète Dizolele, l’homme s’agenouilla, face vers l’ouest, les yeux levés vers le ciel et priant, tandis que lui est resté debout à sa gauche. Une lumière descendit du ciel et les envahit. Après avoir fini de prier, l’homme s’en alla en direction de l’Est, tout en lui demandant de ne pas quitter le lieu, précise le prophète qui réalisa qu’il se trouvait à l’entrée du camp Teli où son ami Mvika Michel l’hébergeait.

Inquiet sur l’interprétation de son ami à propos de sa sortie nocturne, il prit courage, dépassant les gardes du camp et arrive à la maison. Son ami lui ouvre la porte sans lui poser une moindre question. Ainsi s’acheva cette première apparition.

Quant à la deuxième apparition, raconte-t-il, elle se produisit la même nuit dans sa chambre. A peine couché, souligne-t-il : « Je vis soudain à côté de mon lit, l’homme qui venait d’être avec moi. A l’instant même, un arbre fruitier poussa à côté du lit et produisit les fruits. L’homme me dit : prends un fruit de cet arbre ».

Quand je tendais ma main pour prendre le fruit, dit le prophète Dizolele Mpungu : « L’arbre s’allongeait, les fruits s’éloignaient de moi. Quand je baissais le bras, l’arbre suivait le même mouvement, les fruits descendaient sur moi et se posaient sur ma poitrine. Je tendais encore ma main et de nouveau les fruits s’éloignaient de moi à tel point que je ne pus saisir un seul fruit jusqu’au matin où l’homme et l’arbre disparurent ».

Cette deuxième apparition, selon l’interprétation du prophète Dizolele Mpungu, représentait sa personne transformée en arbre fruitier par l’Éternel, qui ne cessera de produire des fruits spirituels c.à.d de bonnes œuvres au profit de son peuple (Jérémie 17: 7-8, 13).

Néanmoins, voulant jouir de sa jeunesse, il se proposa de s’écarter de la voie de l’Éternel, en posant un acte qui pousserait ce dernier à lui retirer sa confiance.

Le jeune Isaac prend rendez-vous pour le soir du 8 mars 1955 avec une demoiselle. Contre toute attente, il va se plonger dans un profond sommeil, oubliant même le rendez-vous, au moment où la demoiselle l’attendait à l’endroit convenu. Le rendez-vous fut manqué et le jour suivant, il reçut le mécontentement de la fille.

La troisième apparition s’est produite dans la nuit du 09 au 10 mars 1955 où une voix a encore appelé le jeune Dizolele.

« J’entendis de nouveau une voix grave et forte m’appeler : Isaac ! Quand je répondis, je me trouvai dehors debout au milieu d’une multitude de personnes assises en cercle », écrit-il.

Et d’ajouter : « Du ciel, descendait un objet métallique en dessous duquel était écrit en lettres dorées le mot Forakam. Il était semblable à une grande maison ».

En interprétation, le prophète Dizolele, vu les évènements vécus sur la descente de cet objet métallique, conclut que cela symbolise la lourde et délicate mission que l’Éternel lui a confiée (Isaïe : 49: 5-6) et la mention Forakam est l’adresse du destinataire, tandis que l’assemblée réunie illustre tous ceux qui sont pour et avec lui.

Après ces trois apparitions, le jeune Isaac réalisa qu’il était devenu instrument de Dieu pour le salut de son peuple et à partir du 11 mars 1955, un changement profond intervient en lui. Il perd le goût des choses mondaines et les passions humaines. Une soif ardente de l’Éternel Dieu et de sa parole l’envahit.

Enfin, la quatrième apparition s’est produite le soir du 12 mars 1955. Envahi par le désir ardent de lire la Bible, il consulte son ami protestant, Samson, qui la lui a prêtée. N’étant pas habitué, il n’est pas parvenu à la lire à son retour à la maison. Pris par le sommeil vers 22 heures, témoigne-t-il, il va se coucher dans sa chambre. Après avoir prié et voulant se coucher, la même voix grave et forte lui ordonne : « Isaac, ouvre ta Bible et lis le Psaume 136 ».

« Quand j’ouvris la Bible, je tombai sur le livre des Psaumes. Je cherchai Psaume 136 et je lus le verset : Louez l’Éternel, car il est bon ; car sa miséricorde dure à toujours ; et le second : Louez le Dieu des dieux, car sa miséricorde dure à toujours ».

Notons que c’était la toute première fois de sa vie, de lire la Bible et ce, sur recommandation de l’Éternel. Il n’a pu lire que deux versets jusqu’au matin.

Oint de l’Eternel Dieu

A l’instar d’autres prophètes, le jeune Isaac chercha à confirmer l’origine divine de toutes ces apparitions par un signe. Comme il ne pleuvait plus dans la région et qu’il y avait sécheresse, il demanda à l’Éternel de faire tomber la pluie avant 8 heures du matin du 13 mars 1955.

« Si avant 8 heures, il pleut et que les rivières débordent, je serai convaincu que tout ce que j’ai vu provenait réellement de l’Eternel », a-t-il déclaré.

C’est ce qui fut fait et l’heure était venue pour le jeune Isaac de quitter Forakam, en compagnie de Mahema Bethuel, un ami à qui il a raconté une partie des évènements vécus. Il est alors entré en pérégrination entre Seke-Banza, Kinzao-Mvuete, Matadi, Boma et le Manianga.

A travers le deuxième chapitre de « Mon appel », le prophète Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac évoque la particularité de son onction et de sa sanctification, ses tentations concrètes, le serment de l’Éternel à son endroit, son épreuve, l’annonce des difficultés et victoires à venir, quelques persécutions subies, notamment son agression par les jeunes de son village Makaba, les menaces de mort, etc.

Dans le troisième chapitre  intitulé : L’Église naissante, il épingle la période d’initiation divine, son premier miracle, l’encadrement des fidèles et tenue des cultes, la vie communautaire de premiers fidèles, les premiers serviteurs, etc.

Les paroles s’envolent et les écrits restent, dit-on. « Mon appel » est un support riche en contenu qui explique comment le prophète Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac a reçu de l’Éternel Dieu la mission de s’occuper de son peuple. Le document est très bien protégé par son Dépôt légal : DU 3.02002-57066.

Mission accomplie

Rappelons que le prophète Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac vient d’être rappelé par l’Éternel Dieu le samedi 20 août dans la soirée à Kinshasa, à l’âge de 92 ans et ce, après 67 ans de vie sacerdotale. Il sera inhumé le 29 octobre dans le Manianga au siège spirituel de l’Église à Mont Matangi près de son village natal Makaba, dans le secteur de Kinkenge, territoire de Luozi dans la province du Kongo central, en RDC.

Bien avant, les KCCistes pourront lui rendre les derniers hommages au Palais du peuple où sa dépouille sera exposée du 27 octobre au 28 le matin, jour où l’illustre disparu sera acheminé dans son Manianga natal. ( KCCistes, fidèles de l’EBNM, Ndlr).

Toute sa vie, le prophète Dizolele n’a enseigné que l’Éternel comme le seul vrai Dieu et l’obéissance à sa parole.

« Mon appel » lui, reste un bréviaire pour les KCCistes, en l’absence physique du prophète de l’Éternel Dieu, Dizolele Mpungu Wafiduswa Isaac.

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