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Manque à gagner de 1,079 milliard USD/SNEL S.A : Lushima Djunga alerte Félix Tshisekedi !

Par La Prospérité
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*‘’Expert en gestion des sociétés d’électricité formé par la SNEL SA pendant 40 ans, soit de 1975 à 2015, dont 2 ans passés dans les sociétés d’électricité de la Belgique, la France et de l’Allemagne, j’affirme et répète en réaffirmant qu’en dehors de ma nouvelle politique tarifaire sur la clientèle domestique, l’Etat n’a pas d’autre alternative plus avantageuse pour sauver la SNEL SA de l’hécatombe’’, soutient Florent Délice Lushima Djunga Wembadio, dans une lettre ouverte adressée ce week-end à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la RD. Congo, Chef de l’Etat. Selon lui, en effet, ‘’parmi les 10 candidats qui ont été sélectionnés en catimini par le COPIREP en violation de la procédure compétitive et transparente recommandée par le Gouvernement pour occuper le poste de Directeur Général de la SNEL SA, aucun ne sera capable de réduire le manque à gagner de 1,079 milliard USD enregistré par la SNEL SA sur les clients domestiques en 2020 et d’arrêter l’accumulation scandaleuse de l’énergie non facturée’’. ‘’Pour avoir démystifié tous les Consultants occidentaux et honoré la nation, mon expertise éprouvée en gestion des sociétés d’électricité mérite la reconnaissance de la nation à travers ma nomination par Votre Très Haute Excellence au poste de Directeur Général de la SNEL SA. Je suis capable de relever le défi de l’augmentation des recettes de la SNEL SA et de montrer aux Consultants occidentaux que ma nouvelle politique tarifaire est la meilleure solution à la problématique de l’augmentation des recettes de la société. Il est impossible de redresser la SNEL SA avec les tarifs de 0,029 USD/KHW et de 0,010 USD/KHW sur les consommateurs domestiques’’, conclut-il. LPM LUSHIMA DJUNGA WEMBADIO Rue Luasua n°13 Macampagne Saint Luc KINSHASA/NGALIEMA Tél : +243 999 913 960 Kinshasa, le 20 juin 2022 LETTRE OUVERTE A Sa très Haute Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat (Avec l’expression de mes hommages les plus déférents) à KINSHASA/GOMBE Excellence Monsieur le Président de la République, Concerne : Démonstration scientifique du manque à gagner de 1,079 milliard USD enregistré par la SNEL SA sur sa clientèle domestique connectée au système des compteurs à prépaiement en 2020 J’ai l’honneur de vous informer que la SNEL SA a vendu 12.586 GWH dont 4.722 GWH à 776.458 consommateurs domestiques y compris 101.822 clients connectés au système des compteurs à prépaiement en 2020. Elle a vendu 4.722 GWH pour les ventes médiocres de 138,80 millions USD au tarif de 0,029 USD/KHW pour les recettes médiocres de 72,01 millions USD. Les 101.822 compteurs à prépaiement ont été placés par la SNEL SA pendant 4 ans, soit de 2017 à 2020. Ils ont capté les recettes de 6,520 millions USD en 2020 au tarif de 0,010 USD/KHW. Les tarifs pratiqués par les sociétés privées d’électricité installées en RDC sont compris entre 0,230 USD/KHW et 0,500 USD/KHW calculés selon les règles de la vérité des prix fixées par la nouvelle loi du secteur de l’électricité n°14/011 du 17 juin 2014, d’inspiration occidentale dénommée« LOI Bruno KAPANDJI KALALA ». Une simple opération arithmétique permet de dégager un manque à gagner de 1,079 milliard USD enregistré par la SNEL SA sur les 101.822 compteurs à prépaiement si la société avait vendu 4.722 GWH au tarif de 0,230 USD/KWH, tarif le moins cher parmi les tarifs pratiqués par les sociétés privées d’électricité. Les recettes générées par les 101.822 clients connectés au système des compteurs à prépaiement, sont médiocres et donnent raison à la nouvelle politique tarifaire de l’électricité que je défends pendant 23 ans à partir de 1999 sans être compris pour des raisons que Dieu seul sait. Elles confirment la gestion calamiteuse des consommateurs domestiques par les Ingénieurs Civils qui dirigent la société depuis 1990. Au lieu de faire augmenter les recettes de la société sur sa clientèle basse tension ou domestique, les compteurs à prépaiement contribuent, au contraire, à leur diminution scandaleuse. Le manque à gagner de 1,079 milliard USD et le taux de déserte à l’électricité de 6,75% révèlent que les consommateurs domestiques représentent pour la SNEL SA, une véritable « Mine d’or », mais, mieux exploitée par les sociétés des télécommunications, de transfert d’argent, d’assurance, de la brasserie …qui se disputent chaque jour la même clientèle au grand dam de la SNEL SA qui s’appauvrit d’une manière permanente et progressive chaque année sous le management des Ingénieurs Civils. L’évaluation du manque à gagner pendant 23 ans devrait interpeller la conscience des décideurs. 1. Mon étude inédite, intitulée « Projet CVS et ASIC », menée en 1998. Permettez-moi de vous rappeler que j’ai mené une étude inédite, intitulée « Projet CVS et ASIC » en 1998 à partir de 9 bilans énergétiques de la société de 1990 à 1998 dans le but d’identifier les véritables causes de la dégradation de sa situation financière attribuée à la fin de la coopération entre la SNEL SA et les expatriés occidentaux en 1988 ; aux pillages de septembre 1991 et de janvier 1993 ; à la déliquescence de la Gécamines provoquée par l’effondrement de la mine de KAMOTO en 1994 ; à l’expiration du contrat d’exportation de l’énergie électrique par la SNEL SA vers le Zimbabwe en 1998. Le diagnostic établi selon les règles de l’art avait constaté dans la gestion des clients domestiques de la SNEL SA les dysfonctionnement, ci-après : les niveaux très bas des tarifs pratiqués par la SNEL SA sur les consommateurs domestiques, inférieurs au prix de revient d’IKWH vendue ; l’accumulation spectaculaire de l’énergie non facturée par rapport à l’énergie facturée, qui est passée de 48,30% en 1998 à 329,75% en 2020 pour la Ville de Kinshasa et de 41,21% en 1998 à 146,45% en 2020 pour toute la SNEL SA ;l’augmentation sans cesse de la consommation de l’énergie domestique qui est passée de 730 GWH en 1990 à 4.722 GWH en 2020 ; le niveau très bas du taux de déserte de l’électricité qui est passé de 6,00% en 1998 à 6,75% en 2020 et non 17% comme l’a déclaré le Ministre de l’énergie dans le journal LE SOFT INTER N°1.437 du 25 mai 2018 ; la surfacturation dont l’Etat était victime car sa facture est passée de 1.135 GWH en 1997 à 552 GWH en 2020 ; l’éloignement de la SNEL SA de sa clientèle basse tension; l’urbanisation chaotique de la Ville de Kinshasa par les chefs coutumiers rendant difficile la distribution de l’électricité aux clients basse tension ; l’endettement excessif de la société. 2. Nouvelle politique tarifaire sur les consommateurs domestiques. La politique tarifaire doit être considérée comme le cheval de bataille de toutes les sociétés d’électricité parce que leur survie en dépend. Elle doit être adaptée au pouvoir d’achat des consommateurs sinon elle sera vouée en échec. On n’applique pas la règle de la vérité des prix aux consommateurs pauvres ayant un pouvoir d’achat dérisoire. Mon étude menée en 1998 a démontré que l’accumulation chaque année de l’énergie non facturée par rapport à l’énergie facturée sur les consommateurs domestiques et les tarifs très bas pratiqués sur cette clientèle constituent deux fléaux qui freinent le développement de la SNEL SA. L’énergie non facturée a atteint le pire niveau mondial dans le secteur de l’électricité avec 329,75% dans la Ville de Kinshasa. Ma nouvelle politique tarifaire est inédite et originale parce qu’elle intègre le facteur social dans la fixation des tarifs domestiques de l’électricité en tenant compte des réalités socio-culturelles, du pouvoir d’achat dérisoire des consommateurs et des préoccupations de l’Etat qui tient à protéger ces derniers. Elle a été combattue par tous les Consultants occidentaux, les Ingénieurs Civils de la SNEL SA, la nouvelle loi du secteur de l’électricité et le COPIREP, auteur du plan de balkanisation et de destruction de la SNEL SA, présenté au cours d’un similaire international organisé à l’hôtel Pullman à Kinshasa, le 26 juin 2008. Combattu par LUSHIMA DJUNGA WEMBADIO, le plan de balkanisation conçu par COPIREP n’a jamais été mis en œuvre et ne le sera jamais parce qu’il est impropre à la consommation. Je suis victime du COPIREP à cause de mon opposition à son plan. Afin d’obtenir l’adhésion du plus grand nombre d’experts en gestion des sociétés d’électricité à ma nouvelle politique tarifaire sur la clientèle basse tension, j’ai présenté personnellement les résultats de mon étude aux experts des différentes structures ci-après :COSU (Comité de Suivi des Prix et des Tarifs de vente d’eau et d’électricité, le 10/3/1999 ; SNEL SA, REGIDESO, CNE, Cabinet du Ministre de l’Energie, le 27/6/1999 ; présidence de la République, Conseil Supérieur du Portefeuille, Professeurs de l’ISS, le 20/7/1999 ; Habitants de la Commune Pilote de Kasa-Vubu, le 10/9/1999 ; Banque Mondiale, le 09/11/1999 ; Délégués Syndicaux de la SNEL SA, le 22/01/2000 ; Econergie, Expert de la Fédération des Entreprises du Congo en sigle « FEC », le 08/05/2001 ; cadres de la SNEL SA, Ingénieurs Civils, le 18/08/2003 ; Conseil Supérieur du Portefeuille, le 07/11/2003 ; SNEL SA, les 5,6 et 7/01/2005 ; Ministère de l’Industrie, le 16/11/2007. Mon étude a été très appréciée par tous les Experts qui ont suivi ma démonstration. 3. Appel de l’Etat adressé aux Consultants occidentaux Induit en erreur par mes détracteurs qui ne lui disaient pas la vérité, l’Etat Congolais avait accepté mon approche sur la fixation des tarifs domestiques de l’électricité, mais avec beaucoup de réserve. C’est pourquoi, l’Etat a fait appel à plusieurs Consultants occidentaux en vue de doter la SNEL SA d’une nouvelle politique tarifaire efficace et cohérente capable de lui permettre d’arrêter sa descente aux enfers et d’augmenter ses recettes sur sa clientèle basse tension ou domestique dont la consommation de l’énergie électrique ne cessait d’accroitre depuis les deux pillages sus-évoqués. Parmi les Consultants occidentaux qui avaient été chargés de cette mission, on peut citer : EDF, TRACTABEL, GROUPEMENT EUROPEEN EEF-ICM-MEDIS, LAHMAYER INTERNATIONAL. Les derniers Consultants en date sont les Experts canadiens de MANITOBA HYDRO-INTERNATIONAL, auxquels l’Etat avait confié la gestion de la SNEL SA pendant 3 ans, soit de 2015 à 2017, sous le management de Monsieur Eric MBALA MUSANDA, Ingénieur Civil et Directeur Général de la SNEL SA dans le cadre du « Projet de Marché d’Electricité pour la Consommation Domestique et l’Exportation » en sigle « PMEDE », financé par la Banque Mondiale pour le montant de 300,00 Millions USD. Après avoir établi sans complaisance le diagnostic financier de la SNEL SA, les Consultants occidentaux ont reconnu à l’unanimité que la SNEL SA distribuait à fonds perdus, c’est-à-dire, gratuitement son énergie électrique aux consommateurs domestiques parce que les tarifs pratiqués sur cette catégorie de sa clientèle étaient très bas et ne permettaient pas à la société de s’autofinancer alors que les objectifs lui assignés par l’Etat en termes d’amélioration du taux de déserte à l’électricité, de réhabilitation et de maintenance du système électrique de la société demandent d’énormes ressources financières qui font défaut à la SNEL SA. 4. Recommandations des Consultants occidentaux à la SNEL SA Pour améliorer les recettes générées par les consommateurs domestiques, tous les Consultants occidentaux avaient proposé à la SNEL SA, de placer des compteurs à prépaiement chez tous les consommateurs domestiques sans distinction et d’appliquer des tarifs économiques ou rémunérateurs aux diverses catégories de sa clientèle calculés selon les règles des coûts marginaux ou de la vérité des prix par niveau de tension afin que chaque catégorie de sa clientèle reflète ses coûts réels d’alimentation constitués des coûts de puissance, d’énergie et de marketing liés au service de la clientèle auxquels ils faut ajouter l’amortissement de la dette excessive de la SNEL SA et le financement du développement futur de la société. Quant à la nouvelle loi du secteur de l’électricité n°14/011 du 17 juin 2014, elle supprime le facteur social dans la fixation des tarifs domestiques de l’électricité et abandonne les consommateurs domestiques à leur triste sort. Elle recommande à la société de traiter toutes les catégories de sa clientèle sur le même pied d’égalité et de fixer les tarifs de l’électricité selon les principes de la vérité des prix, d’égalité, d’équité et de non transférabilité des charges entre les différentes catégories de la clientèle (BT, MT et HT). Toutes les augmentations des tarifs domestiques proposées par les Consultants occidentaux ont été rejetées par l’Etat comme l’atteste la lettre du Vice-Ministre de l’Energie n°139/CAB/V.MIN-ENER/2005 du 23 février 2005 parce que les tarifs proposés atteignaient des niveaux excessifs, parfois plus élevés que les tarifs domestiques pratiqués dans les pays scandinaves où le pouvoir d’achat de la population est le plus élevé au monde. Il est établi qu’un Congolais moyen est incapable de payer une facture d’électricité de 20,00 USD/mois. 5. Tarif de solidarité « TSO » et Prix de solidarité « PSO » de l’électricité Pour propulser la SNEL SA de la pauvreté et la RDC de l’obscurité, l’application de ma nouvelle politique tarifaire sur les consommateurs domestiques est devenue actuellement après l’échec des Consultants occidentaux, une impérieuse nécessité non négociable. Elle s’inspire de la tradition de la collecte de l’offrande dite « Nsisani », chère à l’Eglise kimbanguiste et introduit deux nouveaux concepts inédits et originaux dans les règles de fixation des tarifs domestiques de l’électricité dans les pays pauvres, à savoir : Tarif de solidarité « TSO » et Prix de solidarité « PSO ». Les Concepts, TSO et PSO, sont diamétralement opposés, mais ils poursuivent le même objectif celui d’augmenter les recettes de la SNEL SA sur les Consommateurs domestiques. Le Tarif de solidarité « TSO » est le tarif reflétant le coût réel de l’énergie électrique vendue aux Consommateurs domestiques. Il doit être appliqué sur l’énergie électrique effectivement consommée par cette clientèle afin de permettre à la SNEL SA de rétablir l’équilibre financier de son compte d’exploitation prévisionnel interrompu depuis plusieurs décennies. Quant au Prix de solidarité « PSO », il est, au contraire, un prix dérisoire, un prix d’amis, un prix fraternel, un prix académique, un prix patriotique, un prix incitatif, un prix hors concurrence à la portée de tous les consommateurs qui vise la maximisation des recettes de la société. Le « PSO » est modulable en fonction du niveau de vie de chaque consommateur dans la parcelle et variable dans le segment de 5,00 USD à 15,00 USD par mois payable individuellement et directement par chaque client à la caisse de la SNEL SA. Il préconise la gestion dite « SNEL de proximité » et la décentralisation totale de toutes les activités technico commerciales. Le « TSO » et le « PSO » créent au sein de la clientèle domestique une solidarité nationale entre les consommateurs nantis et les moins nantis en vue de propulser la société de la pauvreté et le pays de l’obscurité. Le TSO sera appliqué aux consommateurs riches à travers tous les quartiers. Par « Nsisanisation ou Africanisation » des tarifs domestiques de l’électricité, il faut entendre l’opération qui consiste à atomiser, miniaturiser, émietter, fragmenter, parcelliser les tarifs domestiques exorbitants calculés selon les règles des coûts marginaux ou de la vérité des prix édictées par la nouvelle loi du secteur de l’électricité afin de réduire les tarifs exorbitants ainsi obtenus à des niveaux raisonnables et supportables par les consommateurs domestiques, adaptés à leur pouvoir d’achat dérisoire. Expert en gestion des sociétés d’électricité formé par la SNEL SA pendant 40 ans, soit de 1975 à 2015, dont 2 ans passés dans les sociétés d’électricité de la Belgique, la France et de l’Allemagne, j’affirme et répète en réaffirmant qu’en dehors de ma nouvelle politique tarifaire sur la clientèle domestique, l’Etat n’a pas d’autre alternative plus avantageuse pour sauver la SNEL SA de l’hécatombe. Parmi les 10 candidats qui ont été sélectionnés en catimini par COPIREP en violation de la procédure compétitive et transparente recommandée par le Gouvernement pour occuper le poste de Directeur Général de la SNEL SA, aucun ne sera capable de réduire le manque à gagner de 1,079 milliard USD enregistré par la SNEL SA sur les clients domestiques en 2020 et d’arrêter l’accumulation scandaleuse de l’énergie non facturée. Pour avoir démystifié tous les Consultants occidentaux et honoré la nation, mon expertise éprouvée en gestion des sociétés d’électricité mérite la reconnaissance de la nation à travers ma nomination par Votre Très Haute Excellence au poste de Directeur Général de la SNEL SA. Je suis capable de relever le défi de l’augmentation des recettes de la SNEL SA et de montrer aux Consultants occidentaux que ma nouvelle politique tarifaire est la meilleure solution à la problématique de l’augmentation des recettes de la société. Il est impossible de redresser la SNEL SA avec les tarifs de 0,029 USD/KHW et de 0,010 USD/KHW sur les consommateurs domestiques. Veuillez agréer, Sa très Haute Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, l’expression de mes hommages les plus déférents.

LUSHIMA DJUNGA WEMBADIO Expert en Gestion des Sociétés d’Electricité Analyste financier de l’ISSEC de Paris Directeur retraité de la SNEL SA Candidat rejeté par COPIREP Annexes : 20 pièces

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