Aussi bien qu’une ville située au sommet d’une montagne ne peut être cachée, la lumière qui se dégage du quotidien « La Prospérité » ne peut qu’attirer le regard de quiconque désire être impacté. C’est dans ce cadre que se sont inscrits les étudiants de l’Université Catholique du Congo pour un stage académique qui a duré un mois travaillant sans relâche.
Il est temps pour l’équipe de stagiaires de l’UCC de prendre congé de la rédaction du Journal La Prospérité, qui, depuis le samedi 20 avril 2024 leur était familière jusqu’au lundi 20 mai dernier.
De la collecte des informations à la rédaction, ces étudiants ont vécu des expériences exploratrices comme ils l’ont bien signifié lors de la manifestation d’au revoir pour la fin de leur stage à La Prospérité. Des enseignements ont été donnés pour renforcer la connaissance des stagiaires en ce qui concerne la presse mère. Les courses d’expédition des courriers dans plusieurs institutions de la place, sans compter, des colloques, des conférences-débat de tout genre, qu’ils ont couvert durant cette période.
Pour immortaliser leur passage, Marcel Ngoyi Ngoyi Kyengi, Editeur-Directeur Général de La Prospérité, ainsi que tout le personnel de cet organe de presse, ont partagé un repas de famille avec tous les stagiaires, au cours duquel le mot de remerciement au nom de tous les stagiaires a été lu par l’étudiant Néhémie Mwene en ces mots : »Monsieur l’Editeur Marcel Ngoyi, vos conseils, vos expériences, vos orientations, vos encouragements, vos suggestions et vos contributions nous ont accompagné, nuit et jour, tout au long de notre stage. Votre soutien nous a été précieux, et nous espérons que cela continuera même après cette période de stage. Vous nous aviez formés et enseignés pour réussir dans la vie. Il faut se sacrifier, sortir de l’ordinaire, abandonner la fameuse thèse de la « chance eloko pamba » et oser sortir des sentiers battus pour apercevoir le soleil à l’horizon. C’est pourquoi au nom de tous les stagiaires de l’UCC ici présents, nous vous disons un grand merci !». Un discours pour témoigner de leur reconnaissance à l’orfèvre de ce grand œuvre d’esprit.
Bedie Ilengola