Et si comme l’oiseau, l’amour s’évade un jour de cette cage de notre cœur, ira-t-on découvrir sa cachette et l’emprisonner à nouveau ou on le laissera voler en liberté dans le désert ?
A l’amour comme à la police. Suivons et arrêtons l’amour pas pour une peine mais pour un bonheur à perpétuité.
L’amour n’a pas le droit d’être libre dans le vent, il doit être prisonnier dans nos cœurs…
Florence Meta