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Symposium international de Kinshasa : La Fondation Internationale Religions et sociétés et l’UCC mettent en valeur l’éducation de la jeunesse

Par La Prospérité
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La Fondation internationale religions et sociétés, en collaboration avec l’Université Catholique du Congo (UCC), ont organisé, jeudi 3 novembre 2022 à l’UCC, le symposium international de Kinshasa. « Le pacte éducatif africain pour la concrétisation des projets du pape François », tel a été le thème central de ce symposium. Le but de cette matinée était de promouvoir l’éducation des jeunes congolais tout en invitant cette jeunesse à l’amour des études.

Ce rendez-vous a connu un temps fort marqué par des panels conduits par des prêtres, entre autres, la participation de l’archevêque Fridolin Ambongo, de Mgr Ettore Balestrero ainsi que Mgr Philipe Rukamba et de tant d’autres intervenants. Dans sa prise de parole, l’archevêque Fridolin Ambongo a fait appel du pacte que propose le Pape François à l’église et au monde entier pour la contribution de l’éducation aux jeunes africains. Il a été suivi par Mgr Ettore Balestrero qui a défini ce pacte comme une opportunité  pour la jeunesse africaine. D’après lui, la tâche de l’éducation consiste à éduquer les jeunes dans la réalité et en toute franchise, tout en initiant les jeunes et les a encouragés d’aller de l’avant. Toujours dans son intervention, il a évoqué deux articles fondamentaux, « la méthodologie qui consiste à la responsabilité pour éduquer les jeunes qui ont plus des valeurs à la société et la solution qu’on doit mettre en pratique pour favoriser  la jeunesse ».  Mgr Philipe Rukamba lui par contre, a exposé sur les 7 points importants à mettre en place dans l’éducation des jeunes, entre autres, mettre la personne au centre de l’Afrique ou son importance est d’apporter les enfants au développement du pays car ils sont plus importants dans leurs familles ; deuxièmement, écouter les jeunes en général ou il explique, savoir de quoi ils ont besoin et entendre leurs points de vue concernant le pays ; trois, promouvoir la femme, indiquant que la femme a de l’importance dans la société, mais son rôle est d’éduquer les enfants et veiller sur leurs protections. Elle occupe une place primordiale pour les enfants et c’est par là que l’importance de l’adage, « éduquer une femme, c’est éduquer toute une nation », a-t-il indiqué. En quatrième place, il a fait voir la responsabilisation de la famille, ou il fait voir, avoir une culture chrétienne qui aidera à la transformation de l’éducation, compréhension des avis de tout un chacun dans la famille et considérer la famille pour l’éducation d’apprentissage des valeurs des enfants ; cinq, il présente, ouvrir à l’accueil. Selon lui, les africains peuvent contribuer au projet de marque dans le secteur éducatif, d’accueil et l’hospitalité qui sont caractérisée par les africains ; en six, favoriser la concertation au niveau communautaire ou il fait savoir, l’église doit contribuer à la transformation africaine sur les plans religieux, culture, morale, formation, etc. et en septième place, il dit qu’il faut prendre soin de la maison commune, ce qui veut dire d’après lui, veiller sur les biens naitre des enfants concernant leurs visions ,projets, etc. et veiller sur la femme qui doit éduquer les enfants pour être utile dans la société.

Il sied de noter, ce symposium est un rendez-vous qui consiste à réfléchir au changement de l’Afrique, la croissance démocratique, de reconnaitre et valoriser la naissance de l’éducation des enfants ainsi que la jeunesse africaine.

Frida Kiyakama & Bruno Nkazi

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