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Après l’espace Grand-Katanga, Nord et Sud-Ubangi et Kasaï Central, OCC : le Docteur Etienne Tshimanga dépose ses valises à Tshikapa !

Par La Prospérité
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C’est dans le cadre d’une Mission d’itinérance en provinces que le Docteur Etienne Tshimanga Mutombo, Directeur Général de l’Office Congolais de Contrôle, OCC en sigle, parcourt, depuis peu, les différentes provinces de RDC pour évaluer les défis sur terrain auxquels font face les représentations de l’OCC à l’intérieur du pays. Après les provinces du Grand-Katanga, le Nord et le Sud-Ubangi et le Kasaï Central, c’est autour de la province du Kasaï de recevoir le N°1 de l’OCC.

Ce dernier poursuit, sans relâche, sa mission d’itinérance ayant pour objectif l’inspection et l’état des lieux de différentes entités de l’Office. C’est ainsi qu’il est allé à l’assaut de la section de Tshikapa, chef-lieu actuel de la province du Kasaï, mais qui, jusqu’aujourd’hui, est encore sous la dépendance de la direction provinciale de l’OCC/Kasaï Central.

Comme partout où il est passé, le DG Etienne Tshimanga a bénéficié d’un accueil digne de son rang et a pris le soin de communier avec tout le personnel de Tshikapa.

S’adressant aux agents, il a insisté sur la mission légale de l’OCC qui est celle de protéger la population en procédant, en tant que tierce partie, à l’évaluation de la conformité, en l’occurrence l’inspection, la certification, etc. Durant son séjour à Tshikapa, il en a également profité pour sensibiliser les opérateurs économiques à travailler en collaboration avec l’OCC et surtout d’accepter les prestations de l’OCC.

Cette visite de la section de Tshikapa a permis également au Docteur Etienne Tshimanga d’aller à la rescousse des postes frontaliers, longtemps laissés pour compte, en vue de mettre sur pied des approches leur permettant de devenir rentables, à leur tour. Il s’agit, entre autres, de cinq postes frontaliers de la section de Tshikapa, à savoir : Kamako, Kandjandji, Kabwakala, Tshisengo et Mayanda.

La pertinence d’une telle itinérance n’est plus à présenter, dans la mesure où elle permet de galvaniser les troupes du personnel et de palper du doigt l’étendue du travail abattu et à abattre sur terrain.

Peter Ngoyi

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