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Fin du Moratoire de la Peine de Mort en RDC : Une Mesure Cruciale pour la Justice et la Sécurité

Par La Prospérité
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(Par Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza, Acteur politique et Haut Cadre de l’Udps)

Introduction

La République Démocratique du Congo (RDC) est confrontée depuis des décennies à des défis majeurs en matière de criminalité et de sécurité. Dans un contexte où la sécurité des citoyens est constamment menacée par des actes criminels de toutes sortes, le gouvernement congolais a récemment pris une décision historique en mettant fin au moratoire sur la peine de mort. Cette annonce a engendré un débat intense et des réactions diverses au sein de la société congolaise, reflétant les enjeux complexes liés à la justice pénale et aux droits de l’homme dans le pays.

En tant qu’acteur politique et haut cadre du parti présidentiel, Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza occupe une position privilégiée pour comprendre et analyser l’impact de cette décision sur la nation congolaise. En sa qualité de Vice-Président fédéral et Représentant Adjoint en charge de la politique et de la diplomatie de l’Udps/Tshisekedi Fédération/USA, M. Mbiya Bondo Shabanza exprime un soutien inébranlable à cette mesure et met en lumière son importance cruciale pour la justice et la sécurité dans le pays.

Une Mesure Nécessaire pour Faire Face à la Criminalité

La décision récente de mettre fin au moratoire sur la peine de mort en République Démocratique du Congo (RDC) est une réponse directe aux défis persistants en matière de criminalité et de sécurité qui affligent le pays depuis des décennies. Le gouvernement congolais reconnaît la nécessité impérieuse d’adopter des mesures fermes pour lutter contre les crimes les plus graves, tels que la trahison et les actes de terrorisme, qui sapent la stabilité et la sécurité du pays.

Face à une montée de la criminalité et à des menaces terroristes de plus en plus complexes, le rétablissement de la peine de mort apparaît comme une mesure essentielle pour dissuader les individus de s’engager dans des activités criminelles particulièrement graves. En envoyant un signal fort selon lequel de tels comportements ne seront pas tolérés et seront punis avec la plus grande sévérité, le gouvernement démontre son engagement ferme à protéger ses citoyens et à restaurer l’ordre public.

La peine de mort représente un outil crucial dans l’arsenal juridique du pays pour traiter les cas les plus extrêmes de criminalité. En ciblant spécifiquement les actes de trahison et de terrorisme, le rétablissement de cette mesure punitive vise à adresser une réponse claire et dissuasive à ceux qui cherchent à déstabiliser le pays et à menacer la sécurité nationale. Il s’agit là d’une étape nécessaire pour préserver la sûreté et la sécurité de la population congolaise dans un contexte de défis sécuritaires croissants.

Un Fondement Juridique Solide

Sur le plan juridique, la décision de rétablir la peine de mort en République Démocratique du Congo est étayée par des principes internationaux et nationaux en matière de droits de l’homme, ainsi que par la jurisprudence observée dans d’autres pays démocratiques. La peine de mort est reconnue comme une mesure légale dans les cas les plus extrêmes de criminalité et est explicitement prévue par le code pénal congolais. Cette mesure est conforme aux normes internationales établies par des traités et conventions des droits de l’homme, qui permettent l’imposition de la peine capitale dans des circonstances limitées et spécifiques.

De nombreux pays à travers le monde, notamment ceux considérés comme des démocraties établies, ont maintenu la peine de mort dans leur système juridique comme un moyen de répondre aux crimes les plus graves et de protéger la société. Dans ces pays, la peine de mort est généralement réservée aux crimes tels que le meurtre prémédité, la trahison, les actes de terrorisme et d’autres crimes particulièrement odieux. Ces décisions reposent souvent sur des considérations de dissuasion, de justice et de protection de la société contre les individus les plus dangereux.

En tant que représentant politique et défenseur des droits de l’homme, M. Mbiya Bondo Shabanza souligne l’importance de cette décision pour dissuader les criminels potentiels de commettre des actes graves et pour protéger la société contre les individus dangereux. Il insiste sur le fait que la peine de mort est un outil essentiel pour maintenir la sécurité et l’ordre public dans un pays confronté à des défis persistants en matière de criminalité. En imposant la peine de mort de manière équitable et impartiale, le gouvernement congolais envoie un message clair selon lequel les crimes graves ne seront pas tolérés et seront punis conformément à la loi.

Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une approche globale visant à renforcer l’état de droit et à assurer la sécurité des citoyens congolais. En garantissant que les criminels les plus dangereux rendent des comptes pour leurs actions, le gouvernement renforce la confiance du public dans le système judiciaire et contribue à préserver la stabilité et la sécurité nationale. En fin de compte, cette mesure vise à protéger les droits et la sécurité de l’ensemble de la population congolaise, en accordant une priorité absolue à la préservation de la vie et à la garantie de la sécurité pour tous.

Une Application Stricte et Équitable

Il est essentiel que l’application de la peine de mort soit régie par des principes stricts et équitables, garantissant ainsi le respect des droits de l’homme et la protection des individus contre toute erreur judiciaire. Dans cette optique, M. Mbiya Bondo Shabanza souligne que la justice doit être administrée de manière impartiale, sans aucune tolérance envers les hors-la-loi. Cette démarche vise avant tout à préserver la sécurité et la stabilité de la République Démocratique du Congo (RDC), en mettant un terme aux activités criminelles qui sapent la paix et la prospérité du pays.

Une application stricte et équitable de la peine de mort est un impératif moral et juridique. Elle repose sur le respect des droits de l’homme et des principes fondamentaux de la justice. Tout individu accusé de crimes graves doit bénéficier d’un procès équitable et impartial, avec toutes les garanties nécessaires pour assurer l’intégrité du processus judiciaire. Cette approche permet d’éviter les erreurs judiciaires et d’assurer que seuls les véritables coupables soient condamnés.

Par ailleurs, la stricte application de la peine de mort est un moyen de dissuasion efficace contre les crimes les plus graves. En punissant sévèrement les auteurs d’actes de trahison, de terrorisme et d’autres crimes odieux, le gouvernement envoie un message fort selon lequel de tels comportements ne seront pas tolérés dans une société fondée sur les principes de l’état de droit. Cette mesure dissuasive contribue à renforcer la sécurité publique et à protéger les citoyens contre les menaces criminelles.

En outre, l’application rigoureuse de la peine de mort vise à restaurer la confiance des citoyens dans le système judiciaire et dans l’État de droit. En garantissant que la justice soit rendue de manière équitable et transparente, le gouvernement renforce la légitimité de ses institutions et renforce le respect de la loi au sein de la société. Cela contribue à promouvoir un environnement où chacun est tenu responsable de ses actes et où la sécurité de tous est assurée.

En conclusion, la mise en œuvre stricte et équitable de la peine de mort est une mesure nécessaire pour garantir la sécurité et la stabilité de la RDC. En respectant les normes internationales et nationales en matière de droits de l’homme, tout en veillant à ce que la justice soit rendue de manière impartiale, le gouvernement peut protéger ses citoyens contre les menaces criminelles et renforcer la primauté du droit dans le pays.

Conclusion

En conclusion, la décision du gouvernement congolais de mettre fin au moratoire sur la peine de mort marque un tournant crucial dans la politique pénale du pays. Cette mesure est une réponse directe et nécessaire aux défis persistants en matière de criminalité et de sécurité qui menacent la stabilité et le bien-être des citoyens congolais.

En tant que Vice-Président fédéral et Représentant Adjoint en charge de la politique et de la diplomatie de l’Udps/Tshisekedi Fédération/USA, Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza soutient fermement cette décision et appelle à son application stricte et équitable. Il est impératif de garantir que la peine de mort soit administrée dans le respect des normes juridiques et des droits de l’homme, afin d’assurer la justice et la sécurité pour tous les citoyens congolais.

Cette mesure, bien que controversée, est essentielle pour dissuader les criminels potentiels et protéger la société contre les individus dangereux. En rétablissant la peine de mort pour les crimes les plus graves, le gouvernement envoie un message clair selon lequel de tels actes ne seront pas tolérés dans une société fondée sur les principes de l’état de droit.

En définitive, la mise en œuvre stricte et équitable de la peine de mort est un élément crucial de la lutte contre la criminalité et de la préservation de la sécurité publique en République Démocratique du Congo. Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza exhorte le gouvernement congolais à veiller à ce que cette mesure soit appliquée avec rigueur et dans le respect des droits fondamentaux, afin de garantir la justice et la sécurité pour tous les citoyens congolais.

                                               CURRICULUM VITAE

Profil Professionnel

Je suis un professionnel doté de plus de 20 ans d’expérience dans le secteur public en République Démocratique du Congo et aux États-Unis, ainsi qu’au sein d’ONG nationales et internationales. Mon expertise englobe la protection sociale, la gestion des ressources humaines, le renforcement des capacités et le développement organisationnel.

Compétences Clés

  • Formation et animation d’ateliers variés.
  • Assistance humanitaire en situations de crises complexes.
  • Sécurité alimentaire et développement agricole.
  • Planification stratégique et suivi de projets.
  • Sensibilisation à la diversité et respect des droits.
  • Gestion budgétaire et administrative.

I. IDENTITÉ

  • Nom: MBIYA BONDO
  • Post Nom: SHABANZA
  • Prénom: JEAN AIMÉ
  • Date et lieu de naissance : Mbuji Mayi, le 16 mars 1966
  • Nom du père : BONDO KAMUANGA SHABANZA LÉONARD
  • Nom de la mère : NSHIMBA MALANGU MARIE
  • Adresse : 54 Avenue de la Révolution, Q. 17 Mai, Commune de Kimbaseke, Ville Province de Kinshasa/RDC
  • Emails: jean.mbiyabondo@iarsociety.org, jeanaime.mbiyabondo@doane.edu

Telephones: 01(762)888-5639; (243)981228121; (243)837456078 (WhatsApp)

  • Situation familiale : Marié, père de plusieurs enfants

II. ÉTUDES

  • 2021 – Présent : Master en Administration Publique,
  • Perdue Global University, Option : Gestion des entreprises publiques et privées.
  • 2010-2014 : Bachelor en Administration Publique, Doane University à Lincoln, Nebraska.
  • 1990 à 1993: Diplôme de Gradué en Sciences Économiques, Gestion d’Entreprise, Institut d’Études Supérieures et Universitaires de Kinshasa (Inesukin).

III. EXPÉRIENCES

  • Janvier 2023 à Présent : Profession libérale.
  • 2016 à Janvier 2023: Directeur Exécutif, International American Relief Society (IARS) – USA, Atlanta, avec un bureau de représentation en RDC.
    • Responsabilités principales:
  • Développement et mise en œuvre de la politique générale.
    • Analyse du marché et gestion des budgets.
    • Promotion de l’image de l’organisation.
  • Février 2012 – Mars 2015: Adjoint Responsable Département RH – Administration, Feeding America.
    • Responsabilités principales:
  • Gestion du processus de recrutement.
    • Gestion des activités de paie.
  • Avril 2015 à juillet 2017: Assistant Administration et Ressources Humaines, Human Ressources Développement (HRD).
    • Responsabilités principales:
  • Gestion administrative et RH.
    • Assistance dans la gestion des contrats.
  • Novembre 2007 – Février 2012: Assistant Financier et Administratif & RH, ONG Région V Services, Lincoln, Nebraska.
    • Responsabilités principales:
  • Recrutement et gestion du personnel.
    • Gestion financière et administrative.
  • Mars 2000 à juin 2005: Chef de Bureau, Direction de la Paie, Ministère du Budget.
    • Responsabilités principales:
  • Supervision de l’élaboration des états de paie.
    • Contrôle de la régularité des pièces justificatives.
  • Novembre 1995 – Octobre 1999: Attaché de Bureau de 2ème classe, Ministère du Budget, Direction de la Paie.
    • Responsabilités principales:
  • Élaboration des états de paie.
    • Contrôle de la conformité des documents justificatifs.

IV. ENGAGEMENT POLITIQUE ET ASSOCIATIF

  • Depuis 2021: Vice-président et représentant adjoint de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS-TSHISEKEDI) aux États-Unis.
    • Responsabilités principales:
  • Direction stratégique de l’UDPS-TSHISEKEDI aux États-Unis, avec un focus sur les aspects politiques, diplomatiques et organisationnels de la région est du pays.
  • De 2007 à 2021: Président sectionnaire de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS-TSHISEKEDI) dans l’État de Nebraska.
    • Réussites:
  • Supervision des activités politiques et mobilisation des membres.
    • Lancement de programmes de développement communautaire.
  • Depuis 1985, j’ai embrassé un parcours professionnel et un engagement communautaire qui se sont avérés à la fois riches et diversifiés, marquant ainsi mon parcours tant au niveau national en République Démocratique du Congo qu’à l’échelle internationale.
  • Durant cette période, j’ai consacré une part importante de mon temps et de mes efforts à servir ma communauté et à contribuer à son développement.
  • Mon engagement m’a conduit à occuper des postes de leadership au sein de plusieurs organisations professionnelles, me permettant ainsi de jouer un rôle actif dans la définition et la mise en œuvre de stratégies importantes.
  •  Ces responsabilités ont été pour moi une source d’apprentissage continu, me permettant de développer des compétences de gestion, de leadership et de collaboration.
  • Au fil des années, j’ai eu l’opportunité de participer à diverses initiatives et projets au sein de ces organisations professionnelles. Que ce soit en contribuant à des campagnes de sensibilisation, en organisant des événements communautaires, ou en travaillant sur des programmes de développement, j’ai toujours cherché à apporter une valeur ajoutée à chaque projet dans lequel je me suis investi.
  • Ces expériences ont été des catalyseurs pour renforcer mon expertise dans des domaines variés et ont élargi ma compréhension des enjeux locaux et mondiaux.
  • En tant que membre actif de ces organisations, j’ai également eu l’occasion de collaborer avec des personnes provenant de différents horizons, ce qui a enrichi mon expérience professionnelle et m’a permis de développer un réseau solide de contacts professionnels.
  •  Cette diversité de perspectives m’a non seulement permis d’élargir mes horizons, mais aussi de mieux comprendre les défis auxquels sont confrontées nos communautés, et d’identifier des solutions innovantes pour y répondre.
  • En résumé, mon parcours professionnel et mon engagement communautaire ont été façonnés par une volonté constante de servir et de contribuer au bien-être de la société. Ces expériences ont été une source d’inspiration et ont nourri ma passion pour le travail collaboratif et l’innovation sociale.
  •  Je reste déterminé à continuer à mettre mes compétences et mon expérience au service de causes qui me tiennent à cœur, dans le but de créer un impact positif durable dans notre société.

V. CERTIFICATION

Je certifie sur mon honneur que les informations données ci-dessus sont exactes et véridiques.

Fait à Kinshasa, le 10 juillet 2023

Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza

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