Le DG Emile NGOY KASONGO
Le Directeur Général (DG) de l’Institut Supérieur de Commerce, ISC-Kinshasa, le Professeur des universités, Emile Ngoy Kasongo, et quelques technocrates de son comité de gestion ont eu une séance de travail en vidéo conférence avec l’establishment de la Haute Ecole de Gestion, HEG Fribourg dans l’objectif de donner de plus en plus corps à l’accord de coopération signé le mois passé en Suisse.
Il s’est tenu ce jeudi 6 octobre 2022 au bureau du DG de l’ISC-Kinshasa, le professeur Émile NGOY KASONGO, une réunion technique en vidéo conférence entre les technocrates de son comité et ceux de l’équipe dirigeante de la HEG Fribourg afin de concilier conjointement les différentes options propices à une matérialisation réciproquement bénéfiques de l’accord de partenariat.
Très enthousiasmé face aux initiatives scientifiquement, socialement et économiquement salutaires non seulement pour les récipiendaires mais surtout pour le pays entier dont le besoin en main d’œuvre experte va sans cesse croissant, le DG Emile NGOY a tenu en haleine ses experts maison dans cette réunion technique en vidéo conférence pendant près de 4 heures du temps. Et ces heures, il fallait les prendre le souci étant de passer au peigne fin les préparatifs de la première promotion master sous le thème : « Entreprenariat en économie émergente ».
Manifestement, le train de l’accord de partenariat ISC-HEG Fribourg atteint de plus en plus une vitesse de croisière au point que les pêcheurs en eaux troubles, les prophètes de malheur et les défaitistes qui ne croyaient pas jusque hier à la concrétisation de cet ambitieux projet de portée internationale n’auront plus que leurs doigts pour se les mordre.
Ce partenariat entre littéralement dans la droite ligne des premiers objectifs à court terme que s’était assigné le comité de gestion de l’ISC-Kinshasa à travers son DG, le professeur des universités Émile NGOY KASONGO, celle d’ouvrir cette institution d’enseignements supérieurs et universitaires vers des horizons meilleurs dépassant les frontières africaines, voire européennes.
Dieu merci KANDA MPOYI/Kiosque d’Afrique
