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Qui a dit que les Yansi  n’auraient pas de Roi?

Par La Prospérité
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*Il serait d’un raisonnement aussi fou que naïf, que de croire à certaines bavures de la communication qui impactent fort négativement aux entendements des uns tout comme des autres.De fait, quand on n’a pas l’histoire avec soi, on n’est pas si loin de gober ne serait-ce que la fausseté la plus vulgaire de l’histoire qu’un gamin, à peine né, pourrait amèrement réfuter. Comprenne qui pourra!!!!

Faute d’information claire et précise, tout homme est tenté d’adopter des “à-peu-près” pour certains, et des “à-côtés” pour d’autres, sur des notions pourtant sérieuses à faire évoluer nos communautés.

Le commun d’historiens se le rappellera toujours ! Qu’ils soient parsemés à travers plusieurs pays d’Afrique aujourd’hui après les négociations de Berlin (où l’Afrique, ne fut aucunement représentée) renforce encore les mythes du Royaume de Pount, celui autrement dénommé « Ta Nétjer » et qui est le pays du Dieu dans l’entendement séculaire des ères égyptiennes). S’il est possible de retrouver les traces des mœurs yansi dans les zones subsahariennes à l’instar du Soudan du Sud, du Soudan, de la Centrafrique voire du Somalie où ils seraient mêlés (disons mariés, mélangés) à d’autres populations pour former des nouvelles communautés avec, à la base, le mental égyptien d’ouverture et de philanthropie, aussi les faits historiques martèlent qu’ils auraient beaucoup travailler à la construction qualitative et glorieuse, à l’apogée grandiose et honorable du royaume évoqué, jusqu’à ce que les invasions répétitives et des problèmes d’ordre économique (notamment la désertification ainsi que l’incapacité d’une grande partie du sol à leur fournir, à temps voulu, les fruits de l’ensemble des semences espérées…) le poussèrent à prendre, par différents groupes, des directions différentes à la conquête de nouvelles terres.

Du Pount ( Souligné plus au XXV°Siècles avant Jésus-Christ, en tant qu’Éthiopie ancienne ayant inclu l’Égypte actuel et le Soudan) en partance inconsciente et fatale pour la RDCongo via les zones du golfe de Guinée (Gabon, Cameroun, Guinée équatoriale et Congo), les Yansi composés des <<Yèy>> et des << Mpút>>, ont su garder la base de la culture égyptienne, celle qui donne une certaine valeur à l’organisation, celle qui est honorée sans conteste, la famille, la morale, le travail et l’ingénierie. Ces valeurs qui, aussi, en constituent des piliers fondamentaux, sont illustrées aussi bien dans leurs vies actives que dans le sein folklorique ethnique orientée par des messages chantés (chansons) et des danses y relatives, telles que manierées au sens du respect de soi, de l’autre et de tous.

Qui a dit que les Yansi n’auraient pas un roi commun? Qui a laissé entendre qu’ils n’auront pas vu leur soleil ? Et qui a prêché qu’ils n’auraient pas retrouvé la boussole de Mayit, le prédécesseur de Tashiar, celui par qui l’histoire cheffale glorieuse du Royaume yansi semble marquer pause, pour reprendre un peu plus tard son cours en sens contraire ? Désolé, de telles questions ne seront plus posées, à dater de ce week-end récent, dans les milieux yansi.

Ces Yansi, conscients des réalités qu’ils vivent entre eux, organisateurs par nature, sérieux d’essence, fermes devant des paroles délibérées car chez eux la parole est sacrée, vaillants qui jamais ne reculen, non pas par témérité mais par audace, ont pour une fois de plus démontré leur capacité à se mettre ensemble ( comme il en fut par le passé : fédération des bayanzi du Kwilu ou alliance des bayanzi ou encore association des yansi du congo), pour décider de qui va être leur  << Ntwál>> (le guide).

Ainsi, comme dans un stade qui met, tout de suite, deux clubs rivaux de la ville en opposition, la très prometteuse ville de Djuma dans le secteur de Kwilu-kimbata (térritoire de Bulungu), a rassemblé un monde fou (disons un monde à très grande majorité constitué des filles et fils Yansi et les clans cousins…) autour de leur leader naturel et approuvé de tous les quatre territoires qu’ils occupent, en la personne de Jean-Paul HENRI BARTHÉLÉMY MOKA NGOLO MPATI, actuellement résidant en dualité entre sa terre ancestrale et l’Egypte, pays adoptif de Mosis, Moshe (Moise), à l’occasion des cérémonies concluant à son intronisation royale, laquelle intronisation lui fait appelé désormais  Mfum’ Ntwàl Muka Ngol’ M’pati (qui signifie le Roi guide Bon Berger en yansi), succédant ainsi au défunt Roi Guy-Bartelemy MOKA NGOLO (l’ex-batonnier de l’ancienne province de Bandundu et son père biologique) de la dynastie Binkie (Bankie ou Kinkie selon certaines sources coloniales), originaire de la juridiction Kinkuku tel le roi David issu de la tribu de juda, du secteur de KIDZWEM’ dans le territoire de Bagata, lesquelles cérémonies ont eu lieu aux dates du 26 au 30 novembre très récentes de l’année deux milles vingt-deux du calendrier romain et année du Tigre d’eau selon le calendrier chinois.  Dans la pensée chinoise, chaque année porte une énergie particulière symbolisée par un animal et un élément. Nous avons quitté les énergies du Buffle de Métal, pour entrer dans l’année du Tigre d’Eau porteur de changement. Le Tigre d’Eau symbolise l’énergie, l’harmonie et la créativité. 

Au fond, il s’est agi tout précisément d’une double consécration solennelle : Le premier portait autour d’un couronnement purement ecclésiastique ( puisque le Nzyám ou le Dieu Créateur de tout ce qui existe, devrait donné sa bénédiction à cette volonté manifestée par l’âme commune yansi d’avoir un tel leader -Quoique le pouvoir royal tienne ses émanations directement du Nzyàam et que se transmette de génération en génération -et en prendre rapidement acte avant que Satan n’en perturbe l’ordre). Le deuxième devait porter sur un couronnement ancestral émaillé des rites spéciaux internes, préparés en avance, qui en appellent à la conscience afro-ancestrale de l’être (afro-yansi surtout), et dont une conclusion non gênée  montre bien, cette-fois, que le concerné (Jean-Paul MOKA NGOLO Mpati en l’occurrence) est bel et bien accepté dans l’au-delà yansi.

Dans les lignes éclairées, importe beaucoup de le dire! Le monarque des Yansi a irremarquablement eu trois bénédictions (pour ne pas insister sur le concept de consécration). La première est ce que nous avons vu : La foule ? Évidemment ! Mais n’importe laquelle. Dès son arrivée au petit matin du dimanche dernier (27 Novembre) par le biais du port de Mikwi, les parents le saluent mais les enfants le suivent et s’accolent à lui. Certains d’entre ‘eux sont aimantés du désir de rencontrer un papa bonheur, venu à leur rencontre, d’autres aimeraient bien rester à ses côtés tout le reste de leur vie. Un peu, d’un côté, tant s’en est fallu démontrer si la question de choix d’enfants était entendu quelque part dans nos différentes sociétés, eh bien, pour celle des Yansi, rien ne changerait.

Sur son séjour de 4 jours, il ne passera qu’un seul dans Petite patrie de KIDZWEM, le reste lui condamnerait à le faire à Djuma.

La ville de Djuma n’a pas caché ses ambitions au roi dont elle a facilité la bénédiction ecclésiastique vers 14 h près, ce lundi, après une prière dite à l’honneur de son Père, défunt de quelques mois. Il fallait y être présent pour comprendre le sens de l’alliance d’amour que le nouveau Monarque venait d’engager avec sa terre. Placé devant son peuple lors de la première cérémonie, celle de bénédiction divine, le désormais lion de l’ethnie yansi, en face du curé de Saint Guy de Djuma, a eu des mots forts et direct de l’endroit de ce dernier, et qui lui rappeleraient toujours de mettre en avant plan de tous les programmes et du bien-être de son peuple, dans la salle Gobierno de Navarra.

 A  Kidzwem, son secteur-patrie, son escorte ne cessera point de s’attirer autant d’enfants (mais aussi de parents) : Nombreux ont été ceux qui l’ont accueilli en mettant des pagnes, en exécutant quelques morceaux de musique à pas cadensé à la manière du folklore yansi de ce coin, jusqu’à la porte de la maison du chef du village, le Mfumu Kobo.

Les coulisses de la maison du chef coutumier n’ont, à quelques bonnes minutes, été manifestées qu’à la sortie de tous les responsables du village ainsi que les membres  influents.

À sa sortie, visage serein, aspect calme, debout à droite du chef du village et de  ses notables, MUKA NGOL MPATI 1èr, va se prononcer dans presque deux minutes du silence qui s’y imposait. Là, il est vêtu complètement des outils dignes d’un roi.

D’un discours à un autre, il jurera de ne jamais être le roi de la partie kidzwem seule, mais celui de l’ensemble des Yansi ( les vivants ainsi que les morts), dans le continent ou en dehors de celui-ci, avant de leur parler du méfait de la  »distraction » dans la vie des Yansi, en rapport avec la problématique du développement qui devrait en découler.

Le nouvel homme fort de la dynastie Binkie a, après cette double cérémonie, eu ses tous premiers  << Mfumu Kaka nge >> de la part de ces milliers de Yansi, venus de tous les horizons (de l’intérieur tout comme de l’extérieur du pays), et qui d’ailleurs pouvaient être dépasser par le  » Tá abí ma gyál »(notre papa est venu), cri qui a fait bouger tout le kidzwem.

Interrogés par nos confrères des médias présents au lieu de l’événement (Djuma puis KIDZWEM’), des Yansi de Bagata, de Bulungu, de Masi-Manimba, d’Idiofa ainsi que ceux de la diaspora, Venus nombreux pourtant sans être ouvertement conviés (manifestant au grand jour donc, que l’élu est le bienvenu), sont unanimement ouverts, et à joie pleinement impliquée, au fait de voir le désormais << MFUM’ N’TWAL MUKA NGOL’ MPATI 1er >>  devenir leur Roi sur l’ensemble de terres yansi. C’était ce qu’ils attendaient depuis toujours : Un Roi Sage, Humble, rassembleur et surtout donneur des solutions.

Mais,  qui est-il réellement ? Des nombreuses sources (surtout consultées à l’internationale) tombent toutes d’accord sur les capacités combien nombreuses que détient ce nouveau sacré sur le trône de Tashiar. Qui parlerait de l’intellect, il en a de très développé alors  car il est, par ailleurs, une légende reconnue mondialement au jeu des échecs qui est généralement reservé aux élites occidentales; Qui aurait évoqué l’éthique, il le vit ; Qui avancerait des qualités physiques au-delà de toutes considérations , il en a également car il peut marcher des dizaines de kilomètres, sans essoufflement.

Le nouveau Roi de tous les Yansi est un économiste de grande envergure. C’est à ce juste titre que cet ancien condisciple de Barack OBAMA, a rejoint la Chase Manhattan Bank en 1994 comme Manager en Planning stratégique, alors qu’il n’est que jeune de quelques années (le plus jeune membre du conseil d’administration de la zone Europe-Moyen-Orient-Afrique). Il connaîtra une évolution rapide pour des raisons de ces qualités intellectuelles susdites évoquées. Avant d’être conduit à la tête du fameux club de Zurich en 2013. Passé à la City Financial à Londres, il y laissera également des empreintes très positives sur ces impressions entrepreneuriales et managériales. Possédant une maîtrise en administration des affaires et certifié docteur en sciences politiques internationales, il se permettra de travailler avec le secteur privé de quelques pays riches, entre autres les USA et la Chine.

En sa qualité d’homme politique de la République Démocratique du Congo, il a marqué le monde d’observateurs tant nationaux qu’internationaux avec le premier procès de son histoire contre les assassins de Patrice Emery Lumumba (un procès qui demandait avant tout du courage puisqu’il s’agissait d’assassins puissants assis sur leur trône de puissance.Donc, c’était question de se refuser pour un intérêt National). Il est aujourd’hui « Autorité morale » du mouvement bleu, une plateforme politique opérant dans son pays, la République Démocratique du Congo.

En sus de ces considérations, Il est, à l’heure qu’il est, Ambassadeur pour la République Arabe d’Égypte de la sixième région économique de l’Union Africaine (SOAD) pour un mandat de 4 ans, mission diplomatique qu’il exerce depuis juin 2022 dernier. Il est également professeur en économie de gestion à l’université chrétienne du Caire (Egypte).

Et l’on ne va pas s’attarder à lui ajouter, à côté de tout ce qui est énoncé ci-haut, les responsabilités coutumières lui ayant été conférées ces jours,et qui font qu’il succède comme Monarque de la dynastie Binkie dans le Royaume des Yansi.

D’effet en effet, tel qu’un roi souhaité par un peuple ayant beaucoup évolué, depuis la mort de Tashiar ainsi que de son successeur direct, par organisation séparée, le Mfúm’ Ntwál’Muka NGolo Mpat 1er, tombe accueilli très favorablement par les collectifs des chefs coutumiers de différentes représentations sectorielles, ceux qui ont compris autant que les autres, qu’il est l’heure des ancêtres, l’heure qui marque un tournant décisif dans l’histoire glorieuse du peuple Yansi de la République Démocratique du Congo.

C’est de lui que les Ngangwóm parlaient : Il mettra tout le monde d’accord sur les différents sujets intéressants les Yansi. Plusieurs voix se sont toujours montrées hostiles à tout discours qui fait éloges à la fameuse loi de « Kintsuil » (mariage qui au départ stipulait une faveur à la croissance quantitative de la population yansophone), d’autres crient contre plusieurs autres pratiques pourtant intéressantes pour la communauté entière. Tout cela trouverait solution.

Les jours se suivent et ne se ressemblent point. Cette fin de mois de novembre n’aura donc pas arrêté de nous surprendre, nous ainsi que le monde yansi. Ceux de la diaspora américaine et européenne ont mis en avant des envoyés spéciaux, ceux qui viennent, en chair et en os, apprendre des nouvelles du nouveau monarque par eux-mêmes. Avec un seul message : << Tous unis derrière le fils de la nation yansi, le fils d’ancêtres >>. Ils ne seront pas les seuls à le rencontrer. Il y a aussi un bon nombre d’anciens camarades d’école et d’université, des collègues professeurs de sa fratrie et des représentants des chancelleries européennes et restantes, présentes en République Démocratique du Congo.

Des heures de discussions qu’ils passent ces derniers temps préalablement ensemble, expliquent en réalité qu’en dépit de son fait diplomatique, il reste une une bonne personne : Il a l’avantage de savoir de s’attirer tout le monde, il peut parler à tout le monde (il est d’ailleurs un polylingue qui va mieux avec des langues comme le yansi, le français, l’anglais, le kituba, le lingala et plusieurs autres langues de reconnaissance internationale, comprenez que la liste y est non exhaustive) et prompt à intervenir sur chaque appel qui lui est adressé, quel qu’il en coûte le prix.

Il ressort que, l’ancien  » très proche » du Président honoraire Joseph Kabila Kabange, éprouve un grand besoin d’aider son peuple à relever les défis d’ordre social, sociologique ou sociétal (si l’on peut les combiner comme ça), ce besoin de lancer des actions ou activités tant politique que sociales à même de tirer son peuple du gouffre.

Tout en reconnaissant ce qu’exige la grandeur des tâches bien plus forte que la royauté africaine, il cherche néanmoins à se faire plus d’amis qu’auparavant, tant en interne qu’en externe, pour se faciliter les choses. Il est vrai que les projets devront désormais émaner de lui (soit,  passer tout simplement par lui pour avoir une bonne conduite, de la conception à la réalisation) mais son accompagnement demandera si bien l’implication de tous: Vieillard, vieux, adultes, adolescents et, dans la mesure du possible ou du probable, les très jeunes enfants.

C’est pourquoi,  dans toutes ses adresses (quand il était encore loin de se rapprocher de la royauté, en termes de sa localisation non permanente au pays, car il a beaucoup vécu à l’étranger. C’est de là qu’il s’est forgé une vie non princière qu’il récupère ces jours) ne se sentent pas oublier les questions d’amour et de cohésion. Étant donné que ces deux éléments importants sont ceux qui concourent à la force et la grandeur d’une communauté sur terre. Et, ce sont des faits qui l’ont également convaincu le long de son imagination princière (qui aurait précédé à l’ensemble des restes de ses conceptions).

C’est depuis longtemps que les Yansi ont cherché ces choses. Ça fait tellement des siècles par le passé qu’ils n’avaient pas vu de telles choses, et qu’ils cherchaient en vain à remettre en marche les batteries d’une société bâtie, non pas sur du sable mais, sur des véritables supports de développement et du progrès (puisque à quelques nuances près, ces deux réalités se confondent parfois). Le travail, la paix et la cohésion autour de l’amour ne ratent pas à faire naître la réussite de cette volonté. C’est aussi sur cette même longueur du temps qu’ils ont cherché un roi de la carrure de Tashiar, un leader qui peut incarner toutes ces choses dans la logique de sa vie courante de par le très grand passé.

Ce qui est arrivé ces jours, n’est pas loin d’expliquer ces dires des ancêtres : << Ils s’attendaient à un ange et, à force de beaucoup persévérer, ils ont accueilli un dieu même>>.     Une paraphrase qui aujourd’hui se vérifie désormais dans la vie réelle des Yansi. Eux, qui s’attendaient à un chef tout bonnement envoyé de l’au-delà yansi, et qui pourtant accueillent heureusement un roi de très différent alors.

Il n’est donc aucun des problèmes les plus brûlants qui pourront être exposés  par ceux qui ont directement la charge de veiller à la bonne vie de leurs peuples. Les Yansi ont un roi commun aujourd’hui, et il leur reste de s’asseoir autour d’une même table pour parler des problèmes coutumiers et développementaux.

Que ce peuple vive, cela est une bonne chose pour toute la République Démocratique du Congo, dont le développement en appelle à la multiplication d’efforts conjugables  à l’échelle nationale de manière à porter haut les mains les problématiques non résolues par le passé qui s’ accolent au pays.

L’Ambassadeur-professeur, à la tête de son peuple! C’était une joie immense pour les Yansi d’avoir finalement un Roi à profil confiant, mais beaucoup de choses l’attendent encore (il va sûrement y apporter des solutions puisque son peuple est avec lui, et qu’il est aimé de son peuple).                                                                                                                             Fofana Mukubi

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